Certains trouvent etrange, peut être, que je mette dans les mots clés, sur ce sujet, les mots viol, pédophilie, ou inceste...
Alors, je m'en explique.
Tous les pervers manipulateurs, ne sont pas des parents incestueux, pedophiles, ou des violeurs.
Mais tous les violeurs, pédophiles et parents incestueux, sont des pervers manipulateurs... D'ailleurs, la preuve est facile à apporter, un enfant qui est abusé, toujours, s'est entendu dire, la fameuse phrase suivante: "ça sera notre secret", afin de s'assurer que sa proie, lui demeurera bien sous une totale emprise, emprise d'autant plus puissante, que le crime est commis par celui qui a pour vocation, en temps que père, de veiller sur son enfant, "qui n'y connait rien au sexe", et qui a toute sa confiance, c'est en ce sens que l'inceste, est infiniment plus criminel, qu'un acte pédophile, ou un viol, "ors famille".
Le problème aujourd'hui est le suivant, qu'ils soient célèbres, ou qu'ils ne le soient pas, (dernierement, le cas, Richard Berry), Olivier Duhamel, ou Asselineau en politique, se retrouvent, dans la situation suivante.
Ils se voient accusés de faits, qu'ils nient d'autant plus, qu'ils sont anciens, et généralement, (pour encore combien de temps ?), prescrits.
Je viens de trouver un article, qui pose, le probleme, de la façon suivante:
"Pourquoi, le Justice, ouvre telle, une enqueête, pour ces differents cas, alors, que precisement, pour beaucoup, les faits, sont prescrits".
Une loi, qui n'est plus adaptée, est une loi qui est appelée, à ce titre, à évoluer.
Ensuite, l'affluence de témoignages apparus sur les reseaux sociaux, démontre à quel point ce problème est grave.
En verité, la Justice se retrouve, face au citoyen, un peu comme s'il s'agissait d'une personne, qui aurait vu ou été informée, de quelquechose, et donc, si elle ne réagit pas, "philosophiquement", de la part du citoyen, est perçue, comme manquant à son devoir de protection....
Comme pour une personne, alors, la lecture, que nous citoyens, en fairions, serait, "qui ne dit mot, consent"....
En ce sens, ouvrir une enquête, ne signifie pas necessairement, qu'il y aura ensuite condamnation, mais démontre, qu'aux yeux de la Justice précisément, "le message est passé". C'est en ce sens que l'ouverture de ces enquêtes, revêt une importance absolument fondamentale.
Mais revenons, au titre de mon article....
De passage à la gendarmerie, hier, je leur ai posé la question...
Je deposais pour moi même, une simple main courante.
La main courante, reste stokée sur l'ordinateur de la gendarmerie, où elle a été deposée, trois années. Ensuite, elles, sont archivées sous forme papier.
Si je parle de celà, en rapport avec ces affaires, perçues, comme anciennes, (pensez donc !), par les agresseurs, c'est pour signifier, que sur le moment, quand une femme, au sein d'un couple, subit des insultes à repetition (harcelement moral) des coups, ou observe des choses, absolument anormales, ces mains courantes, qui ne vallent pas dépots de plainte, je le rappelle, peuvent par contre quelquefois, bien des années plus tard, constituer un tissus d'indices, particulierement précieux, pour un dépot de plainte, quand la victime se sentira suffisamment forte, pour affronter son agresseur, devant la Justice.
