La frustration, comme prétexte, à la tolérance face au viol.
Au moment, où j’écris ces lignes, je suis en train de lire, « une sur deux », de Julia Foïs, et je viens d’achever la couverture de mon ouvrage, sur l’aviculture, qui va s’appeler, tout compte fait : « la poule aux œufs ne dort que d’un œil ».
Certains doivent se dire, « mais quelle en serait donc la relation »…
Dans cet ouvrage, j’aborde certaines similitudes, entre les comportements de certains animaux, présentement les volailles, et certains humains, ayant observés qu’ils étaient, eux aussi , éventuellement, racistes.
Ils reproduisent d’autre part, de façon particulièrement démonstrative, dans la plupart des cas, les systèmes pyramidaux qu’on observe dans bien des contextes, propres aux humains, c’est-à-dire, l’entreprise, la famille, pour ne citer que ceux là.
Parmi ces comportements, priver de nourriture les plus faibles, les plus isolés, les marginaux, harcèlement sexuels, vis-à-vis des femelles, quand aux petits, privés de nourriture, il arrive purement et simplement, comme dans la nature chez les lions, quelquefois, que le mâle les tue, purement et simplement, dans le seul et unique objectif, de ne pas voir la femelle accaparée par l’élevage des petits, et ainsi l’avoir féconde, plus rapidement.
Certains protecteurs des animaux, doivent me juger bien sévère, et je dirai même, carrément à contrecourant, à une époque où la faune sauvage est menacée, dans une telle proportion, alors que l’homme lui-même, dirigé par des inconscients les mènent à leur perte.
Prendre les vents contraires, par obligation d’efficacité, ne m’a jamais fait peur, des lors que je sais la cause plus que juste.
En effet, quand on observe l’être humain, il est encore plus aisé, par ces temps de menace de l’espèce humaine, de se saisir de certains similitudes avec l’animal, que ce dernier, « file un mauvais coton », ou si vous préférez, qu’il « sent le sapin », comme disait jeanne Cherhal.…
Enfin, sentir le sapin, encore faut-il, que sous l’effet du réchauffement climatique, les sapins n’aient pas purement et simplement, cramé dans des incendies de forêt.
Ainsi, peut-on observer, que dans le règne animal, l’acte sexuel n’est réservé qu’à la reproduction, et seul l’humain, avec quelques rares exceptions, ne le considère que comme une source de plaisir, et d’équilibre, dissocié de l’acte de reproduction…..
Car s’il est admis que la femme est en droit elle aussi de ressentir du plaisir, pour le revendiquer, inutile de préciser, le chemin qui reste à parcourir, pendant l’acte sexuel, jamais encore à ma connaissance, quiconque n’a trouvé le moyen de se demander ou de parvenir à déterminer, si, tel animal femelle ou tel autre, éprouvait du plaisir pendant l’acte sexuel.
Je précise, cependant, que je n’accuse personne, aussi, je n’ai aucune doute sur le fait que du côté des chercheurs, la question se soit posée, mais que c’est infiniment plus la connaissance de leur mœurs, qui est prioritaire dans le seul et unique objectif de répondre aux nécessités d’organiser leur survie qui prévaut, ce que je trouve d’une cohérence inégalable.
Un jour, j’entendais entre deux portes, un jeune homme qui parlait d’un de ses amis, dont la compagne s’était rendue coupable d’un fait incroyable…
Elle le privait de sexe….
Dans son esprit, la coupable était aussi fautive, que s elle avait cadenassé la télévision (oups !), ou le réfrigérateur !
Puis ils conclue, « mais tu réalises, un peu, à quel point elle est dégueulasse » ?
Je ne pus m’empêcher de rire, la consternation du jugement, que je faisais alors, m’empêchant de hurler simplement, je suppose….
Et oui, c’est bien connu, un homme qui ne baise pas, est un homme perdu…
Comment vous dire ?
C’est pour cette raison que ce matin, j’ai décidé de pousser enfin, un bon coup de gueule, sur ce sujet.
Lisant à l’instant, sur un forum, d’aviculture, qu’un coq, qui n’avait aucune poule à violer, heu, pardon, à cocher, serait agressif et finirait par s’accommoder comme dans une certaine chanson, de Thomas Fersen, « un coup de queue de vache » d’un bon bain au vin rouge, agrémenté, de petits oignons, et bouquet garni .....
Le problème, donc, demeure le même.
Ha, oui, le bonobo, parlons en, tiens…
Faire « crac crac », au moindre anicroche, dans le groupe… « comme c’est mignon »…
Personne, par contre, pour se demander, si la bonobonne, elle, y trouve son compte, ou pas, et encore moins, pour se demander, si elle affectionne, les préliminaires, et parvient à l’orgasme, alors, messieurs, vos histoires de bonobos, SVP, mettez le vous, sur l’oreille, à arrêtez de nous faire chier !
Ce qui est terrible, voyez-vous, réside dans le fait que tous ceux qui œuvre à la Justice, autour des attouchements sexuels, de la pédophilie, du harcèlement sexuel, du viol, ou de l’inceste, ont eux aussi, un inconscient qui comme tous les inconscients, qu’ils soient collectifs, ou qu’ils ne le soient pas, sont rétrogrades, et qu’à ce titre, un viol, la foi, « c’est pas si grave »….
Entendre, suite à une relaxation, après un viol, qu’un homme soit acquitté, au prétexte qu’il est un bon père de famille (c’est quoi, au fait, la référence, pour en juger ?), et qu’il paie ses impôts, ne saurait être coupable….
Comment vous dire ?
En dehors de lui souhaiter d’avoir, exclusivement que des filles, qui sauront de façon parfaitement consciente et inconsciente, à quel point, leur père était effectivement un violeur, personnellement, je ne vois pas…
Je tente d’imaginer comment une épouse, la mère de ses chérubins, peut s’endormir chaque soir auprès d’un homme, qui a démonté le portrait d’une femme dans le seul et unique objectif de satisfaire ses instincts sadiques puis ensuite sexuels….
Oui, on peut imaginer ça…
Est qu’à chaque fois que monsieur bande, il est contraint (le pauvre) de démonter sa femme, pire, qu’ un meuble IKEA, pour arriver à éjaculer dans bobonne, référence à la « bonobonne », on ne sait pas….
Plusieurs fois, suite à mon ouvrage sur le masculinisme, on m’a informée ces temps derniers, que beaucoup d’hommes étaient en difficulté aujourd’hui, face aux femmes, sans pour autant que ces dernières, suite au mouvement « metoo », en soient responsables….
Enfin, quoi.
La masturbation messieurs, ne rend pas plus sourd, qu’elle ne rend stupide…
Draguer est toujours autorisé, que je sache…
Mais quand, elle dit, non, c’est non, pas « intérieurement, c’est oui ».
Non, non, c’est non…
Tatouez vous, ça, quelque part, je ne sais, pas, sur mon biceps, sur vos parties intimes, peut être, mais gravez le, putain, de merde, gravez le, quelque part, pour vous en souvenir.
Nous, les femmes, avons toujours eu d’autres ambitions, de de vous servir de faire valoir, de boniches, et surtout, de sex toys, pour parvenir à satisfaire vos frustrations sexuelles…
Pour information, il existe désormais, des sex toys, parfaitement adaptés, pour les hommes, qui reproduisent les même sensations, que lors d d’un coït avec une femme…
Non, ça n’est pas offensant d’y a voir recours, c’est au contraire une preuve d’altruisme, si l’on considère, que ça induit qu’on envisage alors, des relations sexuelles, uniquement dans un contexte de parfaite parité, et de consentement strictement équivalent, entre les deux partenaires…
Ça, c’est un altruisme sexuel, un altruisme dont certains hommes, heureusement sont capables, et nous les espérons de plus en plus nombreux.
https://www.franceinter.fr/emissions/pas-son-genre/pas-son-genre-10-juin-2021
