Françoise Niel Aubin, artiste.

Je conteste, la prétendue légitimité de zemmour, pour les présidentielles.

apifnielaubin Par Le 19/02/2022 à 10:32

   Je tiens à attirer votre attention, sur un travail, dont j’ai entendu parler, un certain Victor Bresson, qui a infiltré la campagne de zemmour, plus particulièrement, sur internet.

   Cette émission est à revoir, sur France 5, dans l’émission « C à vous », avec comme autre invité, jean Michel Apathie, qui a lui, de son côté fait un blog, pour expliquer le fonctionnement des élections en somme, la vulgariser pour répondre aux questions, qu’on lui pose.

  J’expliquais, les semaines passées, la méthodologie du camps zemmour, pour faire gonfler, de façon parfaitement artificielle le nombre de tweets, afin de faire croire, à son potentiel succès.

   Il est bien précisé qu’il s’agit là d’infiltrer par exemple, des groupes, qui n’ont rien à voir, avec la politique, dans le seul et unique objectif, alors qu’il est précisé d’autre part, qu’il avancent dans dire d’emblée, à quel groupe ils appartiennent, celui de zemmour, restant courtois, donc, sans se faire virer…

   De la même façon que marine le pen, invitait et invite encore ses supporters, à ne surtout pas trop penser, le public de zemmour, et plus spécialement, ce qu’on appelle, « ses boites à clics », façon poutine, agissent ainsi de même, cumulant ainsi le nombre de retweet, pour faire croire à un vrai succès, relativement à ses théories politiques.

   Certains diront, « mais ce succès, lors de ses meetings » … c’est vrai, mais certains n'y vont que pour observer, ce qui ne signifie pas qu’ils cautionnent.

   C’est vrai, d’ailleurs, pour n’importe quel parti politique, dans l’histoire des démocraties.

   D’autres me diront,  « et ceux, qui lâchent marine le pen, maintenant, pour le rejoindre, alors, comment est ce possible » ? et qu’est ce qui le justifie ?

   Quand cette dernière prétend que ceux qui l’ont lâchée, dernièrement, ne l’ont fait, que par pur calcul politicien, sachant que les le RN, est exclusivement pyramidal, ils n’y trouvaient pas leur compte ? et cette analyse, est parfaitement exacte….

   Mais là, par contre, où, il se joue quelque chose d’observable, réside dans le fait, qu’ils ne le font que pour adhérer non pas spécialement à zemmour, sur le plan idéologique, parce que quitte à s’habiller de valeurs trouvées dans le caniveau, entre-le cholera et la peste, franchement, les rat quitte le navire, pour monter dans un autre, et rien de plus….

 Plus specialement, les poux changent de chien, rien de plus.

   La raison véritable, pour laquelle ils le font, ne réside que dans un seul et unique objectif,  se faire  nommer en tant que candidats, au élections futures, c’est-à-dire, après les présidentielles…

  En somme, c’est uniquement dans une optique carriériste et opportuniste, que les rats ont quitté le navire RN, et pour leur enrichissement personnel, rien de plus.

  Quant à zemmour, parlons-en.

  Il a toujours détesté le débat politique, et plus encore, face à une femme, chacun assume son handicap comme il le peut, parce qu’un degré de masculinisme, dans une telle proportion, on peut considérer que ça relève du handicap.

  Le masculinisme, de toute façon, est un handicap, puisqu’il ne supporte pas le féminisme, pour une raison fort simple, c’est qu’intellectuellement, il est incapable de le comprendre.

  Et quand on ne comprend pas un mouvement, une pensée ou un concept, on se braque contre, tout simplement.

  Pourtant, quand une femme est au foyer, si confortable, admettons, que soit sa situation, éventuellement, être stupide au point de ne même pas comprendre, que ne pas avoir son autonomie financière, par un travail indépendant, soit quelque chose de vital pour son équilibre psychologique, franchement, y’a pas besoin d’avoir fait l’ENA ou je ne sais quelle grande école, pour l’intégrer, et bien non, même ça, ils sont trop stupides, pour le comprendre.

  Mais revenons-en à zemmour et sn incapacité à débattre….

  S’il est un sujet, où il est difficile d’avoir des infos, c’est bien sur sa situation financière…

  Parce qu’il est là, le vrai moteur, de zemmour, aujourd’hui.

  D’une part, son enrichissement personnel, et d’autre part, le fait, de laver plus blanc que blanc, ses origines algériennes.

  Parce que le coup de l’immigré, qui vote raciste, pour se persuader qu’il est plus français, que n’importe qui, on connait ça….

  Quant à son revisionnisme côté histoire, si l’on observe bien, on ne peut que constater une chose….

  Seul, lui importe, son objectif…

 Et pour servir son objectif, l’enrichissement personnel, croisé, avec cette culpabilité de ne pas être né, « exempt de sang arabe », il invente tout ce qui peut apporter de l’eau, à son moulin….

 C’est-à-dire, qu’on est dans la falsification sous tous les angles….

 Son programme ? Parlons-en…

 Aujourd’hui, ce sont les actionnaires, qui mènent la danse, sous tous les angles, et macron, leur lèche les bottes, comme peut être, bien peu de présidents avant lui, ne se sont baissé à le faire…

 Et en quoi, et comment, zemmour, lui, y changerait-il, quelque chose, dites-moi ?

 Nulle part, il n’evoque le fait qu’au sein des multinationales, plus communément, appelée, (par moi), "pieuvre opportunistes », nulle part, il n’évoque, ce problème fondamental, qui pourtant, traverse de façon horizontale, la totalité des sphères de notre société….

 Que les grands groupes, aient la main, mise sur les médias ?

 Il ne risque pas d’en parler, bolloré est à son service, l’inverse, aussi, si l’on peut dire, puisque l’un, est la carpette de l’autre !

 l'autre raison, pour laquelle je remets en cause cette legitimité, reside dans les pousuite, dont il fait l'objet, et dont, on n'entend guère parler.

 Enfin, la plus inquitante, à mes yeux, reside dans les sondages, si l'on observe, que ce qu'on appelle, "un enventail, representatif, de la population française", ça ne veut strictement rien dire...

 Quid de tous ceux, qui refusent de répondre à un sondage, et qui ont le droit de vote, que je sache ? Quid de cette population là ?

Legitimité, ou pas, de prendre la parole.

   Pour commencer, de quel droit qui que ce soit, se permet il de prendre la parole, sur quelque sujet que ce soit, alors qu’il pourrait parfaitement se contenter de se taire, ou plutôt, ne pas se trouver légitime pour prendre la parole, où que ce soit, sur n’importe quel sujet, dont il serait question ?

   Je répondrai que la liberté d’expression ici, en France, n’appelle aucune légitimité particulière, qui serait officielle, pour permettre d’aborder quelque sujet que ce soit, pour la simple raison, que n’importe qui a le droit de porter un jugement, y compris sur des sujets des plus précis, ou les plus pointus.

 C’est de droit, là, dont je parle et plus particulièrement, de liberté d’expression.

   Certains, trouvent cette posture discutable, peut être, mais c’est ainsi.

   L’énorme avantage, réside dans le fait que ne faisant partie d’aucune caste, ou d‘aucun groupe, qu’il soit politique, social, ou professionnel, et donc, d’aucune légitimité y étant raccrochée officiellement reconnue, seule l’intime conviction de la personne, et le regard, donc désintéressé, permet alors de proposer un regard distancié, et donc encore plus susceptible d’éclairer un sujet, sous un angle novateur.

 Quand au temps employé, il peut arriver que le conditionnel soit la meilleure posture, et qu’il ne soit pas usité, et ce, y compris, dans le milieu journalistique.

 La légitimité, donc, ne découle pas nécessairement d’une formation, sanctionnée ou pas, par un ou des diplômes.

 Elle peut être justifiée aussi, objectivement, parce qu’individuellement, la personne (moi, par exemple), ait reçu suffisamment de messages, d’encouragements, qui l’incite à persévérer, dans ses propos.

 Certains aussi, peuvent se sentir encouragés, pour des raisons discutables.

 Par exemple, par le nombre de demandes d’amis, sachant, d’autre part, que le nombre d’amis, sur les réseaux sociaux, peut s’acheter.

Alors, untel ou une telle, se sent légitimée, uniquement, par ce fait.

 « Et pourquoi pas », diront certains.

 C’est là alors, qu’intervient la notion de conscience et de valeurs, infiniment plus subtiles, l’une et l’autre, que le côté strictement juridique.

 En somme, pour quelle raison, êtes vous sur internet ?

 Quel objectif, poursuivez-vous ?

 Sur internet, ce serait également, le fait que le statut soit reconnu officiellement, qui a pour conséquence qu’on peut se sentir légitime pour parler sur un sujet, ou un autre.

 Oui, je parle au conditionnel, sachant, qu’à present, cette vignette, sensée apporter cette legitimité, n’est plus justifiée, sur certains reseaux sociaux, par la copie de pièces d’identité, par exemple, mais uniquement, par le fait, d’avoir été achetées.

 Il en resulte, que certains profils certifiés, sont alors, aussi toxiques, que d’autres, qui ne l’ont pas été, et agissent, dans l cadre d’arnaques,  d’une importance certaine, au point que des journalistes d’investigation, se soient penché, sur ce problème.

 Ainsi, aujourd’hui, on peut parfaitement affirmer que certains profils qui sont certifiés, ne peuvent en aucune façon garantir en quoi que ce soit, l’honnêteté d’un profil.

Les critères pour obtenir cette officialisation, sont pour le moins obscurs, puisque personnellement, depuis des années,  je l’ai sollicité, et il m’a toujours été refusé, alors que les documents à plusieurs reprises, ont été envoyés.

  De façon générale, l’aspect qui entre en ligne de compte, s’appelle, la E réputation…

   C'est-à-dire, que l’historique général, que l’on ait accumulé, sur internet, étant à l’image de notre activité, j’estime que souvent, pour ne pas dire toujours, il suffit de taper, sur un moteur de recherche, le nom d’une personne, pour apprécier sa crédibilité ou pas.

      Ensuite, qui que ce soit, voyant ainsi, (moi, par exemple), prendre position, sur un sujet quelconque, est parfaitement en droit aussi, de ne pas être d’accord, d’en discuter,  de contrer, aussi, dans le même processus de liberté d’expression.

   Sur les réseaux sociaux, les sites ou les forums, ce sont les modérateurs qui sont sensés superviser pour que chacun puisse débattre, contredire, avec un principe de bienveillance.

  Ensuite dans un contexte médiatique, au sens primaire du mot, c'est-à-dire, radio, presse, et télévision, qui induit ensuite l’équivalence sur le plan numérique, il faut pour cela, qu’un média précisément, pour une raison, ou pour une autre, le légitimise.

  Cette légitimité, peut venir du fait, de voir un livre édité, quand il s’agit d’un écrivain, mais aussi du fait de travailler pour un journal, une radio, ou une chaine de télévision, qui alors, à lui ou elle seule, légitimise le fait qu’untel ou unetelle, prenne position sur tel, sujet ou tel autre.

   En dehors d’une quelconque reconnaissance, de l’un de ces acteurs du milieu médiatique, artistique ou politique, chacun est parfaitement libre, en tant que citoyen de trouver légitime, « ou pas », quiconque, porte un jugement sur quelque sujet qui soit.

    De façon générale, il me semble cohérent, par contre de noter que cette légitimité, pourtant durement acquise, souvent, au  bout de plusieurs décennies, peut s’avérer pour le moins douteuse, quelquefois, si l’on observe, que les raisons profondes qui l’aient justifiée, peut s’avérer ne pas avoir été désintéressée financièrement, c’est ce qu’on observe, dans le milieu politique, notamment, et qui pointe du doigt, la notion de conflit d’intérêt, pour ne citer que cela, qui est pour information, complètement méconnue aux USA, alors que c’est une notion fondamentale, en France, mais aussi, bien au-delà.

 Voir,  sur ce sujet, « transparency international ».

  Mais pour ce qui concerne le rôle de la personne médiatique, il est bon d’admettre, que selon le poste qu’on occupe, entre journalistes, présentateurs, ou chroniqueurs, on est en droit d’épingler ou pas, telle tendance politique, selon ces trois différents statuts.

  Certes, une objectivité totale, est difficile à ambitionner, mais le plus possible, il me semble, c’est ce  vers quoi, il faut tendre.

  Celui qui offre le plus de possibilité, à mes yeux, est celui de chroniqueur, précisément, parce qu’il laisse le plus de liberté, face à un sujet.

 Le chroniqueur est celui, qui jouit du plus de liberté, face à son affect, son émotion, face à son sujet,  qu’il est généralement, libre de choisir.

  Il fait partie d’une équipe, et ce sujet, peut lui avoir été suggéré par un membre de l’équipe, et lui, selon son ressenti, est libre de le choisir ou pas.

  Alors, oui, cette « logique », est conforme effectivement, à certaines valeurs, qu’il serait bien malhonnête, de nier.

  Mais justement, c’est bien là alors, qu’on peut discerner, avec la plus grande acuité, la nuance fondamentale, entre le journalisme et l’animation, d’une émission non journalistique.

  Je trouve assez glauque, pour tout dire, de chercher à épingler, quelqu’un, qui a le courage de laisser filtrer ses opinions politiques.

   Ça ressemble beaucoup, au fait de ne pas assumer ses propres positions, et encore moins, le fait de les revendiquer, comme par exemple, la liberté d’expression, qui est quand même, je le rappelle, un fer de lance, de la culture française.

   Le rôle du chroniqueur à mes yeux, réside dans le rôle d’apporter un focus sur un sujet, qui est censé apporter un plus, par le  style, qui est propre au chroniqueur.

 C’est donc, sa personnalité alors, qui en est la garant.

   Généralement, artiste, lui-même ou elle-même, ce ton à l’image, de l’émotion, qui ait justifié qu’il ou elle choisisse le sujet, peut-être, décalé, poétique, souvent humoristique, en vers, et pourquoi pas ?

   Pourvu que le style en question, soit à même d’apporter un piquant supplémentaire, comparativement au travail d’un journaliste, sensé œuvrer de façon plus rigoureuse, et plus objective…

 Ainsi, un chroniqueur, s’il maitrise un tant soit peu son art, effectivement, par son côté sarcastique, est-il sensé déranger, plus, je le suppose certains….

 On est là entièrement alors, dans la parfaite subjectivité, qui effectivement  dérange, comme dérange l’humour, plus largement, d’autant plus que la démocratie, et la liberté d’expression, fondrait comme neige au soleil.

 Mais on touche là, le sujet le plus sensible, à savoir, « peut on rire de tout ».

 Deproges disait, « oui, mais pas avec n’importe qui ».

 Voyant cette vidéo sur ce sujet, il n’y a pas si longtemps, il est bien dommage, que jamais personne, n’ait prêté attention à ce qu’il précisait, juste après, sur ce point, et qui disait ceci :

 « Dans le mesure, où je vais bien , évidemment »….

 Et c’est pourtant bien là, que se trouve la nuance fondamentale.

 Car le problème ne réside absolument pas dans le fait, de se sentir offusqué par le fait, que tel humoriste ait choqué, ou pas, en parlant de tel sujet, ou de tel autre.

 Comme tous les artistes, particulièrement, sur scène, nous sommes des équilibristes, les seules véritables soupapes d’une société, ou chacun peut, par le rire, voir ses problèmes non pas résolus, mais en tout cas, soulagés, par  ce fait.

 Et se trouvé choqué, par certains propos, ou certains sujets, peut arriver à tout le monde.

 Eventuellement, des excuses, peuvent quelquefois, être souhaitables…

 Non, ce qui est grave, c’est l’aspect procédural, qui pose véritablement problème, et qui met en danger la liberté d’expression, dans le domaine de l’humour.

 On ne me dit pas tout, comme dit Anne Roumanoff, sur ce sujet.

 Mais c’est un problème grave, puisque par définition, un humoriste ne peut se permettre, de payer des sommes importantes, en cas de condamnation.

 Il peut alors arriver qu’il s’autocensure, pour simplement s’éviter de futures condamnations.

 Quand il travaille, dans le cadre professionnel, c’est son employeur, alors qui le couvre juridiquement, ou son assurance.

 Je crois qu’il nous arrive tous, à différents moments de notre existence, d’aller si mal, qu’on n’est plus capables de rire, ni de ses propres emmerdements, ni de quoi que ce soit d’autre, d’ailleurs, souvent.

 Mais pour ceux, qui auraient tendance à vouloir porter plainte, parce qu’ils se sentent blessés, par untel ou une telle, j’aurai juste, une question à leur poser…

 Je trouve vraiment, incroyable, et profondément choquant pour tout dire,  de ne pas comprendre,  que soit même, se trouvant choqué, par tel humoriste, ou tel autre, on n’ait pas ri, la veille, la semaine d’avant, le mois d’avant, ou l’heure d’avant, d’un autre humoriste, ou du même d’ailleurs,  qui riait de quelqu’un, ou d’un sujet, qui pour le coup,  nous semblait parfaitement recevable…

 Et on riait, alors, à gorge déployée, sans avoir conscience, que peut-être ? perçu, par quelqu’un d’autre, ça aurait pu sembler choquant….

 C'est-à-dire, que le rire et le sujet, en lui-même, n’est jamais observé, sous l’angle collectif, mais uniquement, de sa propre personne, comme si l’on était seul(e) au monde….

 Et je suis profondément choquée, justement, par ce manque d’objectivité….

 Et d’ailleurs, pour tout dire, je suis en train de me demander, si moi aussi,  la prochaine fois, que je vais entendre parler d’un chroniqueur, qui fait l’objet d’une poursuite, je ne vais pas poursuivre en justice, l’association en question, pour atteindre au droit de rire de tout, et surtout, de n’importe quoi… Considérant que cette plainte  entrave le droit salvateur, et  profondément thérapeutique du rire collectif, et qu’il s’agit là, d’un rôle sociétal, qu’aucun psychiatre, ne saurait nier.

 Le rire, est sur le plan physiologique, un réflexe, qui donc, par définition, induit, une forme de lâcher prise.

 C’est bien pour cette raison, qu’il est quasiment impossible en dictature, puisque ça induit, un sentiment de confiance, non dite, d’un individu à l’autre….

 Le port du masque, par exemple, par ce biais,  a eu des conséquences toxiques, sur la psychologie de l’individu, puisque la spontanéité d’un regard,  d’un sourire, et donc, aussi, potentiellement, d’un rire, ou d’un fou rire, si salvateur, s’en trouvaient entravés.

 Qu’il ait été toxique, sur le plan psychologique, ne peut en aucun cas, être remis en cause.

  Je prétends juste, qu’à distances respectables, il est préférable, rien que pour cela, de veiller à ne pas le porter, précisément pour s’assurer que la communication, dont le rire, fait partie intégrante, ne puisse pas être gênés.

 Quant au fait de s’en prendre aux chroniqueurs, au seul prétexte, qu’ils sont « réputés », politiquement, je trouve ça amusant.

 Ils doivent effectivement, être aussi objectifs que possible…. Disons que c’est ce vers quoi il doivent tendre, sachant que leurs convictions intimes, pour ne pas dire, leur intimes convictions, leur servent  de carburant.

 Il est stratégiquement souhaitable si possible, de cibler le plus possible, sur un spectre politique, le plus large possible, sans n’oublier personne.

C’est cette notion d’intime conviction, qu’on peut parfaitement rapprocher de la foi, au sens non pas religieux, mais philosophique ou spirituel, qu’il convient d’observer.

  Les politiques, eux aussi, ont leurs valeurs et donc, leurs convictions, et je ne vois pas  sous quel prétexte, ils devraient se priver de les défendre.

 Il est alors amusant, oui, j’ai bien dit amusant, d’observer que jamais, un humoriste ne se saisit d’être d’extrême droite….

 On peut se demander pourquoi….

 Pourquoi, chaque courant politique, ne dispose, t’il pas, de comiques qui s’en revendiquent….

 Comme disait, Laspalles, « y’en a qui ont essayé »….

 Il est alors interpellant, de se demander pour quelle raison, cette coloration n’a jamais servi, ni l’artiste en question, et pas d’avantage,  le courant politique  auquel on pense.

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