Françoise Niel Aubin, artiste.

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Egalité des salières.

apifnielaubin Par Le 06/11/2023 à 15:58

https://lesglorieuses.fr/

Pas facile d'être féministe, contrairement à ce que certains pensent, quelquefois, peut être, y compris chez certaines femmes, d'ailleurs, on est bien contraints (avec l'aide de certains aussi ), de leur ecarquiller les yeux.

 Personnellement,  j'ai écrit un ouvrage qui s'appelle "masculinisme",  et ça n'est pas pour rien...

 Pourquoi ?

 Il y a bien des années, j'avais rédigé différents articles sur le féminisme.

 Un jour, je m'etais dit "tiens, je vais relire, peut être que ça pourrait interesser quelqu'un"...

 Mon travail me semblait d'un seul coup, complètement ors propos, ou plus précisément, upsolète...

 Blessée sur le fait d'avoir le sentiment d'y avoir bossé pour rien ?

 Non, ça ne risquait pas. pas une seule seconde.

    Parce que quand on a l'aventage d'écrire facilement, (ce qui ne signifie pas necessairement que ce soit synonyme de talent, soit dit en passant), je veux parler de talent littéraire, quand on ecrit sur des sujets de société, au grand jamais, on n'écrit, "inutilement".

    Il est bien rare, objectivement, que l'on ecrive, "inutilement", mais ceci, est un autre debat.

   En effet, comme je l'explique, quand je fais des salons du livre ou autres manifesations, travailler en interne, que ce soit pou être posé sur internet, ou pour nourrir le projet d'un ouvrage, sur un sujet précis, le processus d'écriture nourrit un projet de toute façon, en nous obligeant à l'instrospection, sur soi, d'une part, mais aussi sur notre relation aux autres, et plus largement sur le phénomène de société dont il est question...

   En ce sens, travailler sur un sujet de société qui ne relève aucunement de la fiction, mais plutôt, sous forme d'essai, quelque soit sa nature, constitue un travail interne qui est toujours profitable, parce qu'il prepare quelque part, dans un avenir plus ou moins proche, un autre projet d'ouvrage, par exemple...

    Et oui, pour ceux qui l'ignoreraient, toujours, sans qu'on ne puisse le maitriser, n'importe quel sujet de société qui soit traité, induit toujours qu'il soit mêlé à un autre, ou à plusieurs autres.

    En ce sens, j'ai mis ça de côté, et me suis dit, "on verra bien".

   C'est un peu comme si vous vous étiez donné du mal, pour préparer une planche de votre potager,  sans savoir encore, ce que vous allez y semer ou y planter, avec cette nuance cependant, que jusqu'à preuve du contraire, un texte qui est rangé, dans la section "document", de votre ordinateur, ne va pas voir la nature en train de se frotter les mains, et suggérer à toutes adventices, de venir coloniser une terre nettoyée, et laissée nue ! Parce que la nature, elle, a horreur du vide.

   Bon, allez, si vous êtes un peu faignasse à l'automne, comme moi, au jardin, pour peu que vous y ayez bossé (ce qui hélas, n'est pas mon cas), vous êtes quitte pour y poser des cartons pour la fin de l'automne, afin d'eviter, que votre travail n'ait été vain.

  Comme on dit che nous, alors, "gourez vous", parce qu'à cette epoque, il est encore posible, d'un installer quelque chose, y compris, dans une terre qui commnce à se refroidir.

  Non, votre travail, dans l'ordinateur, ne va pas, vous donner à voir, des brindilles, des branches, ou des lianes, qui d'un seul coup, envahiraient votre bureau, puis votre logement.

  Il est vrai que le féminisme inspire, et c'est là, un bienfait, mais, ayant la chance d'être suivie par certaines féministes, j'avais capté que le sujet qui demandait à être traité, c'était le masculinisme.

 Et donc, je m'y suis collée. Ce fû mon premier livre édité.

 Depuis, considérant qu'il était necessaire que je change le codes ISBN de mon ouvrage, suite à la liquidation de mon ancien éditeur, j'en ai profité pour actualiser, ce qui sera le cas des autres ouvrages, qui ont suivi, qui seront eux aussi actualisés à ctte occasion.

 Vous pouvez vous le procurer, en suivant ce lien:

https://www.cultura.com/p-le-masculinisme-10184553.html

 Je ne sais pas s'il est en magasin, par contre, mais vous pouvez l'y commander, comme vous pouvez le commander, dan une librairie.

 Et si dans une librairie, on vous dit, qu'il ne peut être commandé, vous pissez par terre, et vous vous roulez dedans, en principe c'est assez efficace.

   Il est d'autre part, disponible, en dépot, dans ma région, ou disponible, directement, chez moi, en prenant contact.

 Petite précision, je suis une des rares personnes, à a voir travailler sur ce sujet, selon les dires du vendeur de la FNAC à Yvetôt, chez qui j'ai deja dédicacé, alors, qu'ils ont mes différents ouvrages en dépot.

 Comment se fait il alors, que la masculinisme, soit "si peu inspirant"... En voilà, une belle question, ne touvez vous pas ?

 Y compris, du côté des hommes, d'ailleurs, ce qui en dit plus long encore, que de ne pas l'être, du côté des femmes.

 Quoi qu'il en soit, c'est le seul ouvrage, sur lequel j'ai décidé de ne pas peindre la couverture, à partir de cette réédition, "ceci explique celà".

 Au sujet de "l'égalité des salières ", il existe une loi à présent, qui autorise, n'importe quelle femme travaillant dans une entreprise, à demander les salaires à la hierarchie, de ses homologues masculins, pour pouvoir le comparer au sien, à fonction égale, je précise.

 Ma question alors, est la suivante: Comment se fait-il, que la question soit si rarement posée par les femmes, au sein des entreprises ?

 Moi, je sais...

 C'est parce que notre inconscient, nous mène la vie dure et que pour bien des femmes qui travaillent, sans qu'elles n'en soient conscientes, elles trouvent légitimes, qu'un homme, à travail égal, soit mieux remunéré qu'elles...

 Oui, comme on dit, "c'est raide à entendre", mais je parle là d'inconscient, je vous le rappelle....

 Et posez leur donc, la question, au sujet de leur couple, et bien c'est bien pire encore....

 Moi, alors, je fais attention aux faits, et rien qu'aux faits, et je vous le dis bien fort, (bientôt en vidéo,  quand on daignera me verser ma maigre retraite):

A BAS LE POIVRE ! VIVE L'EGALITE DES SALIERES !

 

 

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