Françoise Niel Aubin, artiste.

"Reconquête", et "Rassemblement National", sont les deux partis d'extrême droite, en France.

apifnielaubin Par Le 19/01/2022 à 19:22

Dans Dans le rétroviseur.

   C'est curieux, justement, il y a quelques jours, j'avais suggéré que l'un comme l'autre, s'entraident côté ripolinage, pour tenter de rendre fréquenttable, leurs partis respectifs.

 Et voilà, qu'à 24h d'intervalle,  l'une et l'autre, tambourinent aussi fort, pour tenter de faire passer leur partis pour "non extrême droite".

 Franchement désolée, mais en aucune manière, ce sont les chefs de partis, qui sont en droit de décider, où ils se situent, sur l'échiquer politique.

 Qui donc, alors ?

 Les journalistes ? Les  commentateurs politiques ?

 Ceux là même qu'ils détestent tant, l'une comme l'autre.

 C'est pourtant simple, l'endroit où un parti se situe sur l'échiquer politique, personne n'est en droit d'en décider, en dehors des passants, dans n'importe quelle rue, de France, puisque c'est selon l'image lambda, qu'on peut le déterminer.

 Ainsi, c'est infiniment plus, d'une histoire de réputation, dont il est question, n'en deplaise aux deux protagonistes, qui de toute façon, s'entendent comme cul et chemise.

Que zemmour l'assume, ou qu'il ne l'assume pas, idéologiquement, si l'on observe les raisons profondes, qui font que tant de gens (enfin, c'est ce que l'on dit...), suivent zemmour, c'est bien celà qui forme l'ADN de son parti, qui croise, ne leur en déplaise, l'ADN, du rassemblement national.

 Ainsi, les français, ne sont pas dupes, et ils savent tres bien, pour qui ils voteront, s'il persistent dans leurs choix, quelque soit la devanture de la boutique, qu'ils proposent, et proposeront aux medias, jusqu'au moment d'aller voter dans les urnes.

 Ce matin, marine le pen, était sur France Inter, "radio de gauche", selon les dires, de  "l'extrême droite".

 Heu, pardon, "radio de gauchiasse", selon le vocabulaire, habituellement usité, par "ces gens là".

 J'ai pris quelques notes.

   Elle plaide, contre les éoliennes, en avançant des chiffres, en oubliant, bêtement, les factures myrobolantes, je dirai "un puis sans fond", que coûte aujourd'hui le nucléaire,  et je ne parle pas de l'énorme problème des dechets radioactifs, qu'on offre comme cadeau de bienvenue, aux générations à venir, observant ensuite les problèmes techniques, qu''ils rencontrent encore, alors, qu'EDF, au sein de chaque centrale, soustrainte, certains, de leurs services...

  Je le sais, parce que j'ai visité celle de Paluel, et on nous l'a expliqué...

 "Ce que ça change" , TOUT. Parce qu'en cas d'accident nucléaire, comme à chaque fois qu'une entreprise soutraite, ils se renvoient la balle, pour ne pas en assumer la responsabilité, et donc, les condamnations.

 Pour ce qui concerne les éoliennes, il est possible que pour certains gros projets, ça ne soit pas légitime.

 Mais ce qui me navre, c'est d'entendre des aguments, comme celui, de l'esthetique, qui me font honte...

 Il est question là, d'éviter un terrible cadeau empoisonné, pour notre descendance, et on nous colle, comme argument, que "ça ne serait pas joli"...

 C'est sûr, pour l'avenir de l'humanité, putain de merde, ça, c'est de l'argument.

 Je ne comprends pas, pour tout dire, comment, on peut  être "court termiste", dans une telle proportion, ça me depasse.

 Qu'o m'avance comme argument, que du betail, vivant à leurs pied, tombe malade, ça, je peux l'entendre, parce que ça a du sens.

 Mais l'argument esthétique, franchement, j'ai honte.

 Un des problèmes, comme toujours, réside dans le fait qu'il est difficile, d'admettre que  devant un problème aussi grave que l'énergie, il n'existerait que difficilement, une ou des solutions, qui soient "un moindre mal"....

Je comprends, ce que disent les pêcheurs, mais ne serait il pas envisageable, de trouver des solutions, pour que les zones qui sont ainsi, desertifiées, par la faune aquatique, soient compensées par d'autres zones, ailleurs, ou que les nuisances sonores, en lieu et places des éoliennes, soient diminuée ou amoindries ?

 Quand à l'idée de Thierry Breton, de faire passer le nucléaire, pour des énergies propres, je trouve que politiquement, on nage littéralement, en pleine escroquerie, philosophiquement.

 En effet.

 "Propre", pour moi, ça  ne signifie pas, propre, au sens rechauffement climatique, strictement.

 Ca signifie "propre", au sens, "recevable" alors que tout le monde est parfaitement conscient, que c'est parce qu'on ne peut pas faire autrement.

  Ranger le nucléaire, dans les énergie "propres", aurait pour conséquence, un ripolinage ideologique, à côté duquel les tentatives de marine le pen, pour paraitre fréquentable, semblerait une bluette.

La totalité des entreprises, qui pratiquent le green washing,  s'engouffreraient, dans cette brèche, sans le moindre scrupule, en toute impunité, et ça relève, purement et simplment, de l'escroquerie, vis à vis des générations à venir.

 

Extrême droites européennes, et criminalité.

Les anti européens, sont toujours du coté des escrocs et de la pire criminalité, pas uniquement sur internet, mais aussi dans la vie réelle.

 Ce que je vais vous raconter là, m’a été relaté hier,  c’est hélas une triste histoire vraie, qui doit absolument être dispatchée le plus possible, tellement elle est emblématique, par bien des aspects.

 Oui, certains, je le présume, me croient capables, de menteries, comme on dit, dans le seul et unique objectif, que de promouvoir mes idées politiquement, relativement  aux valeurs européennes…

On me demande, quelquefois pourquoi, « diantre »,  je n’invente pas des histoires…

  Je trouve toujours des personnes sur mon chemin, « allez savoir pourquoi, », pour  me glisser dans les oreilles des histoires vraies,  ce qui, je le concède, fait bien mon affaire, parce qu’ainsi je ne risque pas d’être tentée d’en inventer.

Mais je ne reproche aucunement à quiconque, de s’y livrer !

Pourquoi, je n’arrive pas, que diable, à inventer des histoires ?

 On m’a suggéré un jour, que c’était dû au fait que je suis trop dans l’introspection… Ou si vous préférez, « je cherche trop à comprendre »… Et que ce serait donc antinomique avec le fait de laisser courir mon imagination.

 En fait, on s’en fout un peu, je ne vois pas pourquoi me triturer les méninges, des lors qu’on m’en sert du tout cuit sous le nez.

Il y a  quelques années, deux ou trois ans, ça ne m’a pas été précisé, une jeune femme,  du nom d’Odile Poirier, présentait des troubles du comportement. Des phases euphoriques, suivis de moments, de dépression assez profonde,  qui eurent pour conséquence, qu’elle fût internée, en HP, pendant dix jours, suite à une tentative de suicide…

 C’est précisément, celle qui l’avait « décrochée », qui m’a raconté hier cette histoire.

 Elle ne fût internée à l’époque, que dix jours, avec un diagnostic, de bipolarité, avec un profil  de schizophrénie.  Pour tout dire, si ça me semble un peu léger, dans la durée, pour une pathologie qui extérieurement semble sévère, je ne suis pas médecin et pas psychiatre, je ne me considère pas à ce titre, suffisamment affutée, sur ce point précis pour en juger.

 Elle sortit, bien sûr, avec le RV pour continuer à être suivie par un psychiatre, qui faisait le relai avec l’HP, et même potentiellement, peut-être , avec celui ou celle, qui avait commencé à la diagnostiquer, et donc la suivre, ensuite « en ville », comme on dit, avec comme rythme conventionnel d’une visite par mois, afin d’observer le suivi du patient, et de renouveler son ordonnance de médicament.

 Pendant plus d’une année, elle fût ainsi suivie, et roulât dans la farine le psychiatre, elle interrompit son traitement et la maladie mentale, refit son apparition.

 Déjà, là, (je commente, au fur et à mesure), dans l’hypothèse où comme je le préconise toujours,  un suivi en psychothérapie, lui aurait été proposé,  (dans un contexte, où elle l’aurait accepté) elle aurait consulté un psychologue chaque semaine, ce dernier aurait alors observé le retour des symptômes de la pathologie mentale, et donc, aurait soupçonné que les médicaments, n’étaient plus pris, et aurait ouvert le débat, avec la patiente, et (ou), aurai alerté la psychiatre, de cette suspicion.

  Parce qu’un psychologue, qui suit un ou une patiente chaque semaine, instaure un climat de confiance,  qu’on appelle transfert, qui induit qu’il est plus à même, de convaincre le patient ou la patiente, qu’il en va de son intérêt de prendre son traitement, contrairement au psychiatre, qui, y compris, quand la confiance est bien présente, ne peut assurer un tel rôle, au rythme d’une visite par mois.

 Et son compagnon, ou mari ?

On ne m’a pas précisé, s’ils étaient mariés ou pas….

 A ce stade, ça n’est encore que de sentiments, dont il est question. Et lui aurait dû anticiper, une TS, comme on dit dans le jargon, ça n’est pas rien, et le fait d’observer, que des symptômes réapparaissaient, aurait du induire qu’il espionne, si les médocs étaient pris ou pas.

 J’ai même connu un mari, qui chaque matin, pendant des mois et des mois, faisaient le pilulier de madame, qu’il avait aimablement envoyé à l’HP, le jour de son anniversaire, c’est vous dire si j’en connais un rayon sur le sujet…

 Vous savez, ce que c’est, surtout, si l’on est très amoureux  de la personne avec qui l’on vit,  y compris quand on ne partage pas sa vie, soit dit en passant, être aux petits soins,  au point de l’envoyer à l’HP, ou foutre les pieds, dans le plat comme on dit…. Ou dans l’écuelle, comme pour un vulgaire cabot, non, décidément, dans un couple, c’est là, une affaire bien compliquée…

 Chaque couple, est une histoire individuelle, quoi qu’on en dise, l’amour est tellement aveugle, quelquefois, qu’une chatte n’y retrouverait pas ses petits.

 Des femmes prétendent vouloir un enfant, n’y parviennent pas, et pour cause, monsieur découvre qu’en fait, elle prend la pilule…

 Un autre, au contraire, croit que madame, n’en veut pas, alors, que tout compte fait, elle oublie mystérieusement de la prendre…

 Lui, a tendance à picoler,  elle le refreine pour limiter sa consommation, alors, il picole en douce, en bas, dans son sous sol….

Alors, lui reprocher de ne pas avoir eu la sagesse, de soupçonner qu’elle ne prenait pas ses médocs….Oui, il aurait dû, c’est vrai, donner un simple coup de fil, à la psychiatre, et avoir, une conversation avec elle, devant un témoin externe.

 Car il existe deux formes juridiques, pour être internée, en psychiatrie.

 Soit, de son propre chef, soit, sous la contrainte, d’une personne proche.

 Je n’ai connu personnellement, il y a bien longtemps, que la première version, intimement plus acceptable, et plus respectueuse en son fort intérieur, de la notion de dignité, enfin, relativement l’image qu’on ait de soi même.

 Car après tout, il faut le dire,  sur  dix personnes que vous croisez dans la rue, quasiment toutes sont, à des degrés divers, des malades mentaux, qui simplement cachent leurs symptômes divers et variés, sous certains médicaments, par exemple, ou certaines addictions (je viens de terminer, l’actualisation, de « addictions prendre le mal à la racine).…

 En ce sens, déjà, ça relativise singulièrement, la notion de malade mental.

 Mais ça, on ne le comprend véritablement souvent, que quand on a  été interné soit même, en tant que patient, il me semble.

En somme, si vous atterrissez à l’HP, y’a pas mort d’homme ni de femme, vous vous en remettrez, regardez, moi, j’en suis bien revenue.

Oui, sur le moment, ça pique, c’est clair,  mais si vous avez confiance, et qu’on vous explique que c’est dans votre intérêt, dans le doute, il faut envisager que peut être, je dis bien peut être, ce sont eux qui auraient raison, et ça,  c’est une consultation chez le psychologue, qui peut y aider, bien plus que n’importe qui d’autre, et uniquement par la parole, et aucun médoc, prescrit pas lui,  puisqu’il n’est pas médecin, et qui, dans le cas présent, aurait du être couplé, avec les consultations chez le psychiatre, une fois par mois.

 Passons.

Ainsi, donc, la maladie mentale est réapparue.

 Pendant la phase euphorique de la maladie bipolaire, elle est entrée en en contact, avec  un individu, que nous appelleront Kevin Fresne, qui l’a convaincue de prendre une affaire commerciale,  qui était en train de péricliter, la sienne « à lui personnelle », comme disaient les efants de la DDASS, et pas qu’un peu.

Elle, dans cette phase euphorique, était persuadée, qu’elle était la femme de la situation, comme tout bipolaire qui se respecte, elle était persuadée d’être comme un poisson dans l’eau, devant un tel challenge, et qu’elle redresserait l’affaire, avec son talent, etc, etc, etc…. On ne m’a pas précisé,  quel point, elle aurait été mise au parfum, ou pas, alors, qu’un minimum d’investigations sur l’affaire, aurait suffi à dévoiler le pot aux roses.. ‘  (société.com, par exemple, pour a voir des renseignements, avec disponible, pour quelques euros supplémentaires, l’historique de l’affaire).

 Petite aparté.

 C’est la première fois personnellement, que j’entends un cas aussi extrême. Le plus souvent, dans les phases euphoriques qu’on m’ait racontées, il n’était question que de discours, d’éloquence, de fantasmes, ou bien d’inventions bien réelles, et pour certains même, de génies véritables, qui pendant ces périodes, sont d’une invention incroyables et concrètes, qui donnent même l’occasion, de déposer des brevets, pour des raisons qui sont alors justifiées.

 Ce qui n’est pas sans poser problème ensuite, éventuellement, parce que ces patients, pendant ces phases euphoriques, restent d’autant plus adits à ce ressenti fourni par l’adrénaline, parce qu’ensuite, sous traitement, pour les protéger d’eux même, ils ont le sentiment d’avoir une vie terne, dénuée du moindre intérêt.

 C’est une erreur d’avoir un tel sentiment, parce que le traitement à vie qui est prescrit à un patient bipolaire, en vérité, sur le long terme,  retrouve sa capacité à créer, tout autant, simplement, les phases euphoriques, sont un peu émoussées, et surtout, il perd le plus important, le fait de se mettre en danger, au sens le plus physique du mot….

 Je soupçonne que certains, lisant ces lignes,  croient que les psychiatres, sortent n’importe quoi…  Notamment, sur le diagnostic.

Ils se méfient plus que jamais des étiquettes,  et je revendique d’y être un peu pour quelque chose. C’est en tout cas, ce qu’on m’avait expliqué, il y a bien des années, quand j’étais allée y passer de nouveau, quelques jours.

 La tâche est ardue, quand il s’agit de parvenir à doser avec précision les médicaments.

 Quel médicament, pour quelle pathologie, aucun psychiatre ne peut prétendre, faire entrer au chausse pied, tel patient dans telle case,  il faut des mois et des mois, pour parvenir à trouver le bon dosage du bon médicament,  quand on l’a trouvé, voir, plusieurs années quelquefois aussi, est il vraiment déraisonnable, de leur jeter la pierre.

 Alors, si en plus, le patient dès le départ, le roule dans la farine, c’est encore plus difficile pour lui de parvenir à équilibrer le dosage du médicament.

Mais revenons en cette Odile Poirier, et ces ambitions commerciales.

 Une fois repris l’affaire en question, lui a disparu de la circulation.

 Elle a travaillé, je suppose, mais l’affaire périclitant, elle est redescendue sur le plancher des vaches, et a pris conscience, de la gravité de la situation.

 Elle est aujourd’hui endettée, pour une valeur de 400 000€, si j’ai bien compris.

 Ce Kevin Fresne, avant que les serrures du magasin ne soit changées, au matin, a réussi à vider tout ce qui aurait pu servir à défendre la victime, ou faire un procès, peut être ?

 Il est parti en Australie, parait il, la laissant elle avec les 400 000€ de dettes et engagée suite à ce qu’il lui a fait signer.

Elle a présent consent à reconnaitre ses torts.

 La personne qui l’avait « décrochée »,  suite à sa TS,  va faire le nécessaire pour demander sa mise sous  protection, l’idéal étant de prévenir le procureur de la république, qui fera le nécessaire.

 La procédure est la suivante :  S’il le juge nécessaire, il préviendra la juge des tutelle.

Ce dernier (souvent, ce sont des femmes, comme c’est étrange), mandatera un expert psychiatre, dont seuls certains sont experts, habilités à travailler avec le ministère de la justice.

 Selon le résultat de l’expertise qui est payante, c’est la juge des tutelles qui décide si oui ou non, le patient doit être mis sous protection, et selon quelle forme, tutelle, curatelle renforcé ou curatelle simple.

 Il est bon de préciser qu’un patient suivi par tel psychiatre, ne peut pas être expertisé par lui, dans le cas où ce dernier est expert psychiatre auprès de la protection des majeurs, et habilité en tant que tel.

 Pour ce qui concerne l’escroquerie, en tant que telle.

 Il s’agit d’abus de confiance avéré, ou d’abus de pouvoir sur personne vulnérable.

 Odile Poirier, n’est âgée que de 27 ans.

Et l’Europe, dans tout ça ?

 Si l’on observe aujourd’hui, la criminalité, dans les différents aspects qu’elle revêt, on parle surtout aujourd’hui d’internet.

 Le politique, en  ce sens, par le biais d’Europol et d’Interpol,  tend à œuvrer pour peu que certains pays membres, ne s’y opposent pas, à collaborer, avec  les autres pays membres.

 De leurs côtés, toutes les formes de criminalité qu’on observe, s’adaptent à l’internet,  et les politiques sur le plan national et européen légifèrent, le plus efficacement possible, pour y faire face.

    Ce que nous apprend cette histoire, réside dans le fait que si l’on est en droit, à juste titre, de pointer du doigt les dangers d’internet  (GAFAMS crevette et pêche à pied, à paraitre prochainement),  ce dernier n’est pas l’inventeur de l’escroquerie et de la criminalité, et ça n’est que par son imperfection, et ses vides juridiques, qu’il offre hélas, la possibilité pour tous criminels, de s’en saisir.

Il importe de ne jamais oublier à quel point les criminels, quelque soit leurs secteurs de prédilection, sont toujours des pervers manipulateurs en puissance, et qu’à ce titre, mieux que personne, ils sont conseillés aussi, par des professionnels tout aussi véreux, qu’ils le sont eux même.

 Jadis, on appelait cela, « l’escroquerie en col blanc »….

 Certains politiques d’extrême droite,  en sont encore là, et leurs costumes cravates, ne leurrent encore, que quelques petits vieux, qui sont encore assez naïfs, pour  croire en leur honnêteté…

 Et qu’on ne vienne pas m’accabler, avec des délits de facies, version vestimentaire, je vous prie.

 J’ai le plus grand respect, pour le costume cravate, quand il n’est que l’expression d’un déguisement feint, à la Pierre desproges, Raymond Devos, ou Pierre dac, ça va sans dire..

 Mais encore, faut il en être digne, sinon, c’est vraiment comique.

 Comique, à quel point ?

 Au point de me faire retrouver le sourire, je dois le reconnaitre.

Non aujourd’hui, le mal, que j’ai le courage de nommer, moi, contrairement à bien d’autres, comme toujours, prend le soin de se loger sous des apparences toujours beaucoup plus subtiles, soyez sans crainte, et dans le cas présent, sans avoir eu recours, le moins du monde, à… INTERNET !

Une de mes amies un jour, m’a parlé  de sa sœur, sa cadette,  bardée de diplômes,  mais très mal dans sa peau.

 Elle était diabétique, diabète de type 1, insulino dépendante.

 Autant dire, que ça ne rigole pas,  et qu’on ait alors, tout intérêt à veiller au grain.

 Un soir, elle décide d’entrer dans un bar, et consomme de l’alcool….

 Le type la raccompagne chez elle, et ils continuent à picoler.

Elle fait un malaise, il ne bronche pas, cherche carnet de cheque et carte bancaire.

 On l’a retrouvée morte, le matin.

L’oiseau maléfique avait disparu.

Il savait qu’elle était diabétique, et ça n’était pas uniquement une rencontre d’un soir, et quand bien même.

Le beau frère dit à la police, « mais le mec, là, vous faites quoi ?

 « Rien, rien, on ne fait rien, rien n’est prévu dans un tel cas ».

 Ils ont réussi à le retrouver rapidement, je ne sais comment.

 On ne sait pas s’il a continué à sévir dans les soirées, dans les bars,  en quête de personnes vulnérables, une diabétique, pensez donc, « la belle aubaine que voilà », il suffisait de la faire picoler, et la nature faisait le reste. Et rien n’était prévu. Et là, encore, pas d’internet en jeu, je le rappelle.

 Ainsi, donc, si l’on observe n’importe quelle forme criminelle, au hasard, la pédocriminalité, si elle est observable, que dans 75% des cas,  c’est au sein de la famille ou des amis de la victime,  que se cache le prédateur ( ça, c’est pour mettre les points sur les I et les barres, sur les T des adeptes de la famille, « traditionnelle »), pour les autres, la première chose qui les caractérise, réside dans le fait d’être particulièrement adeptes, des voyages à l’étranger.

 Jamais, le goût des voyages, ne s’est vu observé avec une telle assiduité.

 Pourquoi ?

 Parce que tout criminel, (qui est un pervers manipulateur, je vous le rappelle),  a conscience que ce faisant, et observant de potentiels dysfonctionnements, voir lourdeurs administratives, ou simplement vides juridiques sont observés, ils savent que statistiquement, ils courent beaucoup moins le risque d’être pris, tout simplement.

 Et ceci, est vérifiable, dans tous les secteurs de la criminalité.

 C’est ce qui justifie le titre de mon article.

 Ainsi, dans l’affaire de Odile poirier, et Kevin Fresne, on peut observer que ce monsieur, bizarrement, est parti en Australie, une soudaine envie je suppose, d’aller étudier de plus près la surpopulation des kangourous à poils gris… . Ce qui, soit dit en passant, trahit sans la moindre once de doute, l’absolue certitude qu’il venait de commettre quelque chose de grave et de contraire à la moindre éthique, et donc, signe à lui seul, sa culpabilité.

Alors, après avoir lu ce témoignage, parler contre l’Europe, contre EUROPOL, ou contre INTERPOL…. 

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