Françoise Niel Aubin, artiste.

En politique aussi, respectez, je vous prie "la nuance".

apifnielaubin Par Le 25/04/2021 à 07:40

Dans PSYCHO.

Alors que je lisais, ici, un article au sujet de "l'islamo ganchisme", expression, qui traduit d'aventage, il me semble, une volonté, de monter en epingle, un pehenomène réel, mais ne meritant pas, il me semble, une telle publicité, je reflechssais, à ce que je perçois, personnellement, de la diversité, des personnes, que j'observe.

 Je ne parle pas là, de mon environnement proche, dans le réel, moi, qui vit à la campagne, mais plutot, du brouhha général, que je perçois, par medias, interposé, duquel, d'ailleurs, je me preserve, preciment, pour mon equilibre personnel.... Et ceci, "malgré le confinement consecutif au convid".

  Ces tenant, de cette expression, dont ils iment se saisir, aimeraient nous faire croire, que des lors, qu'on est enfant d'immigré, on vit, systemtiquement, la rage an ventre, à vouloir, en decoudre, absolument, dans une rancoeur tenace, qu'il  serait inenvisageable, qu'il en soit autrement....

 C'est bien mal connaitre, la nature huamine, qui veut, qu'on peut a voir, immigrer, quelquefois, dans un contexte, qui n'ait pas été necessairement, si traumatique que celà....

 C'est bien mal connaitre la nature humaine, effectivemnt, qui veut que certains, se sont integré, plutot, bien, et ne gardent, pas necessairement, une quelconque rancoeur,  ce qui ne constitue pas necessairement, je le precise, un pretexte, pour autant, à voir, en eux, une quelconque trahison, vis à vis de leurs familles, d'origine, restées, au bled, ou ailleurs....

 Oui, je pense plus précisément, je le reconnais, au milieu artistique, car il est vrai qu'en temps qu'artiste, on a la chance, y compris quand on est interdit encore, pour des raisons sanitaires, de ne pas pouvoir se  produire, d'au moins pouvoir transformer, ce qui nous inquiète, nous émeut, nous perturbe, ce que n'ont pas d'autres, qui n'ont pas cette chance.

  Il n'y a rien de plus prejuciable, je crois, que les à prioris, ces étiquettes, qu'on vous colle,  parce que vous avez telle couleur de peau, tel handicap, telle particularité, telle origine, telle histoire, tel vécu....

 Je réécoutais, ces jours derniers, l'émission "la bande originale", avec Nagui, au sujet de Sofia Aram,  qui a écrit un livre sur ce sujet.

https://www.franceinter.fr/emissions/la-bande-originale/la-bande-originale-22-avril-2021

 "La question qui tue".

http://www.denoel.fr/Catalogue/DENOEL/Document/La-question-qui-tue#

 En vérité je crois que nous a vons tous, aisi, certaines particularités, qu ont pour consequence, qu'on vous interpelle toujours, sur les mêmes questions...

 Au delà, du fait que ça blesse, et qu'on en arrive à evoluer, comme le dit Sofia dans la stratégie à adopter pour botter en touche, par pure féniantise d'y répondre, mais surtout, parce que ça n'avance à rien, ce qui interpelle, c'est que ça equivaut,au fait, se sentir assigné, toujours, à devoir, jutifier, du fait, qu'on ne serait pas dans la norme qu'on voudrait nous imposer.

 Vous n'êtes pas dans la norme, et donc, vous devez vous justifier.

 Peut être, que la reponse, aux questions, deplacées, aussi, pourrait être, de simplement sourire, quelquefois.... En regardant droit dans les yeux, version, "j'ai bien entendu, ta question, mais franchement, TU M'EMMERDES".

 Voilà.

 

sectarisme, communautarisme, racisme, handicap,

 

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