Françoise Niel Aubin, artiste.

Y voir plus clair, dans la jungle des éditeurs.

apifnielaubin Par Le 11/03/2023 à 23:08

Dans Autrice.

Oui, j'ai bien dit la jungle.

 Quand nous discutons entre auteurs, dans les salons du livre, on peut constater que bien peu, voir aucun, ne sont  satisfaits de leur éditeur.

 Seuls le sont ceux qui parviennent à percer, et donc, en vivre relativement, en sont satisfaits.

 Loin de vouloir jeter la pierre, à une profession qui a toutes les peines du monde à survivre, nous devons, auteurs, veiller à être solidaires, et nous protéger, pour y voir un peu plus clair.

 J'ai trouvé un article rédigé par quelqu'un qui a veillé à éplucher les contrats qu'on nous propose, et je vous donne le lien, qui est le suivant.

 

 13 mars 2023.

 Voilà, le mail, que je viens de recevoir, de l'entreprise, qui etait souc contrat, vec mon editeur, j'ai en suspession, mon projet, sur l'autorité, pour lequel j'ai versé, 750€.

Bonjour monsieur,

 les éditions Sydney Laurent sont en liquidation judiciaire depuis vendredi dernier.

 Je suis un prestataire indépendant et Sydney Laurent était mon client.

 Ce qui signifie que je ne serai pas payé pour le travail que nous avions en cours.

 Souhaitez-vous récupérer mes fichiers de travail en vue d'une publication future dans une autre maison d'édition ?

 Si oui je vous adresserai un devis d'un montant que nous pouvons discuter.

 Bien cordialement,

 Johann Guillon.

 

17 mars 2023.

 Voici le site officiel, où une éventuelle liquidation serait décidée.

https://actulegales.fr/recherche/siren/509025516?fbclid=IwAR3lgZzKS3zLaJomJ4quXUB3gii5AUy8z7LFUYCxHucxsJfPzcZOe82kFd0

 Comme vous pouvez le constater, nulle part, il n'est encore question, de liquidation judiciaire.

 Reste que personnellement, je cherche à les joindre pour commander de nouveaux exemplaires pour mes dédicaces et salons du livre, et qu'ils sont injoignables. Je n'ai pu que laisser des messages.

 Selon les conseils d'une amie éditrice, (merci, Marguerite, des éditions "la pomme qui rit".....

https://www.lapommequirit.fr/, ce qui importe, c'est de noter le code ISBN, de son ouvrage.

 Il s'agit,  de l'identité numerique, qui trace l'existence papier, en quelque sorte, d'un livre.

 Grâce à ce code, vous pouvez demander à un libraire, digne de ce nom, de commander tel ouvrage, ou tel autre.

 Comment vous dites ?

  Le titre,  l'auteur, et l'editeur, devraient suffire.

 Intellectuellement, je dirai que oui....

 Mais si la librairie, n'a pas vraiment à coeur de faire correctement son travail,  et que son grossiste ne connait pas, ou ne travaille jamais avec l'éditeur dont il est question, vous ne pouvez pas le commander.

 Si par contre, le libraire a à coeur, de satisfaire son client, il travaille avec un grossiste aussi compétent et sérieux que lui, (merci, à la plume d'or, qui porte bien son nom, à  Barentin),  et lui se chargera de dégotter votre precieux bouquin... (un des miens, tant qu'à faire... sic...), et pour celà, il faut lui fournir impérativement, le code ISBN, du livre dont il est question...

 Oui, pour l'avoir, il faut le livre, et si vous avez le livre, entre les mains, inutile de l'acheter.....

 

 

 

 ET PUIS QUOI ENCORE ? Vous voulez une baffe, ou bien quoi ?

 

 

 Sinon, je vous rappelle, que bien que soucieuse de la santé de l'industrie du livre, et de l'ensemble de la filière,  je pense avant tout, à MA POMME, celle qui rit le clown, justement...

 Et potentiellement, aux auteurs, qui sont dans la même galère que moi...

 Pour en revenir à mon éditeur, Sydney Laurent,  alors que le directeur se vantait toujours de ne fonctionner, qu'avec un seul contrat type, version, "le même pour tout le monde", visiblement, nous sommes bien loin, d'être traités à la même enseigne.

 J'en tiens pour preuve, le fait que jamais,  sur 5000 auteurs, au bas mot, je ne me suis vue mise en valeur sur le portail du site, là où bien d'autres, le sont tres régulièrement..

 "Selon quel critère", est ce là, une histoire de ""graissage de patte", comme on dit en pays de caux  ?

 Pourquoi, à la plume d'or, hier, le monsieur, m'a affirmé, qu certains auteurs, de chez Sydney Laurent, etaient dispos, alors que moi, sensée être logée à la même enseigne, je suis inconnue au bataillon.... Comme chez Cultura, d'ailleurs....

  A la Fnac, tous les ouvrages sont dispo, à Yvetôt, parce qu'ils ont été assez aimables, de me les prendre en dépot.

 Sinon, sur leur site,   "masculinisme", et "addictions, prendre le mal à la racine", ne sont plus dispos, qu'en E book,  mais plus en version papier.

 

 Sur amazon commerciale, alors, là, eux décrochent le ponpon, à défaut de décrocher la lune, ils ont tout dispos, en numérique et en papier, y compris celui, dont l'éditeur n'aurait pas encore, commandité l'impression....

 AMAZON, la seule librairie virtuelle, capable de vous  vendre un livre, qui n'existe pas encore....

 Non, ça n'est pa là pre commande, la pré commande, dit ce qu'elle est...

Là, on vous dit, que le livre existe, alors, qu'il n'est pas encore imprimé.

https://www.amazon.fr/s?k=fran%C3%A7oise+Niel+Aubin&__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=1X20AHJVKML23&sprefix=fran%C3%A7oise+niel+aubin%2Caps%2C83&ref=nb_sb_noss

 Et qui comme l'homme qui a vu l'homme, qui a vu l'homme, qui a vu l'homme, qui aurait potentiellement, vu l'ours, n'aurait pas eu peur.....

 INCROYABLE, NON ?

https://www.florence-cochet.com/?fbclid=IwAR2F0NdechyszjJzh78SYXx2zuuwcOflG04Uzv0uQMfUUYSEQEsXFsrxxsAcontrats-que-je-ne-signerais-pas

 Ces infos, chez amazon, selon mon amie éditrice, ne sont absolument pas fiables.

 Conclusion, de l'histoire,  en discutant, hier apres midi, avec la plume d'or (car oui, à Baentin, cité des Arts, les plumes discutent, pour information, c'est la faute, au festival  "moi amateur", auquel je participe, ce week end, avec le peu de livres, qu'il me reste à vendre.... On est partis à en rigoler, hier, par un tonitruand...

 MAIS QUEL MERDIER.....

 Et oui couleur caca,  je sais pas, vous, mais moi ça m'inspire....

 Bon, dernier son de cloche, de la part d'une correctrice free lance, qui travaillait avec eux, elle vient de recevoir un courrier, du liquidateur....

01avril 2023.

 Visiblement, bien des libraires, eux aussi,  ne sont pas la noce, comme on dit.

https://www.radiofrance.fr/franceinter/podcasts/la-librairie-francophone/la-librairie-francophone-du-samedi-01-avril-2023-1922445

 Merci, pour le poisson.

 

 

Pour ceux, qui subissent le contre coup de la liquidation des éditions Sydney Laurent.

https://gowork.fr/sydney-laurent-editions-paris,1

29 Avril 2023.

 Grande nouvelle aujourd'hui, mon livre est effectivement imprimé, celui sur l'autorité, vous pouvez vous le procurer, sur amazon...

 C'est ici:  https://www.amazon.fr/s?k=fran%C3%A7oise+Niel+Aubin&__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&crid=1X20AHJVKML23&sprefix=fran%C3%A7oise+niel+aubin%2Caps%2C83&ref=nb_sb_noss

 Ne me demandez pas comment celà est il possible, je suis bien incapable, de vous répondre.

 "Incompatible avec les valeurs que je défends", diront certains, helas, je n'ai pas, mon mot à dire sur ce point. En tout cas, pas encoe.

  La réalité économique, n'est pas entre mes mains, et je n'ai d'autant pas d'autre alternative à vous proposer (en dehors, de mes quelques points de dépot ici, en Normandie), pour acheter mes livres qu'aux dernieres nouvelles, ils sont impossibles à commander, chez un libraire.

 Il semble, que le liquidateur judiciaire, aurait mandaté amazon pour distribuer mon livre,  si jen crois, ce qui est ecrit, en fin d'ouvrage.

  Je vais voir des mardi matin, avec le libraire de Barentin, comment il peut résoudre ce problème, qui me chagrine un peu, tout de même, et faire que mes livres puissent êre commandés, dans n'importe quelle librairie.

 En attendant, je n'ai toujours pas trouvé le moyen de faire imprimer, ceux qui me manquent, puisque les imprimeurs que j'ai contactés pour commander, suite à leurs devis, ne me répondent plus, encore..... Snif !

"Jean Marc Fauré est son vrai nom Marc Henri Solange ou Olivier Boissy ne sont que des pseudos".

Je cite:

"Ecroquerie, jean marc Faure cette société proposait à des gérants salariés d'exploiter des magasins à son enseigne, moyennant un droit d'entrée de l'ordre de 300 000 F.

La BIM l'avait aussitôt soutenue en consentant des prêts systématiques aux candidats attirés par une publicité tapageuse. Deux cents boutiques avaient, ainsi, été ouvertes dans toute la France. Mais l'ascension de la société _ et d'une société jumelle spécialisée dans la vente de vêtements d'occasion, " Elle court, elle court la fripe " _ avait été stoppée, à fin décembre 1989, après que la banque eut cessé de leur accorder des découverts. Ceux-ci se montaient, alors, à 80 millions de francs et le passif d'Un bruit qui court atteignait 110 millions de francs. La société avait été mise en redressement judiciaire, le 15 décembre, et, dans les mois suivants, le juge Murciano avait inculpé trois de ses responsables, dont Jean-Marc Fauré extradé de Suisse où il s'était réfugié, ainsi que le directeur de la BIM, M. Jean-Claude Colcy, poursuivi pour complicité d'escroquerie, abus de biens sociaux et banqueroute. D'autre part, le 20 février 1990, le fondé de pouvoir de la banque, Jean Ferry, s'était suicidé.
D'étonnantes libéralités
La princesse Isabelle de Bourbon-Parme, fille du prince Sixte de Bourbon-Parme et veuve du comte Roger de La Rochefoucauld, avait créé la BIM en 1975. Il lui est reproché, au même titre que son directeur, d'avoir facilité les agissements de Jean-Marc Fauré, en accordant à sa société d'étonnantes libéralités et en fournissant, de plus, aux futurs franchisés des documents attestant faussement de la bonne santé de la société".

 

 Il devient alors, particulierment lumineux, de se demander pourquoi, certains se trouvaient curieusement toujours sur la page d'acceuil de leur site, alors que d'autres, n'y avaient jamais droit.

 Visiblement, il semble évident, qu'il y avait des "bons auteurs", et d'autres, accessoires.... Je veux dire, qu'on est d'autant plus susceptibles, d'être mis à l'honneur, qu'on nage, aussi dans des eaux troubles, ou si vous préférez, "qui se ressemble, s'assemblent".

 Je cite, un message, plus haut: "Jean marc Fauré est son vrai nom Marc Henri Solange ou Olivier Boissy ne sont que des pseudos".....

 Une question me turlupine comme on dit, comment, peut on expliquer qu'il ait eu le droit, de créer sa maison d'édition, avec un pseudo, comme identité veritable.... ?

 Je ne parle pas de "l'image", de la maison  d'edition, mais bien de son identité, aupres du public, dont, les auteurs...

 Il s'agit donc purement et simplement de publicité mensongère. Quand on n'a rien à se reprocher, on n'a pas besoin de faire sous pseudo, comme quoi,  il n'y a pas qu'avec internet, qu'on peut manipuler et mettre sur pied des escroqueries, parce que ça n'est pas un perdreau de l'année, ce monsieur, il me semble, non ?

 2 mai 2023.

 Je viens de passer voir mon librire, à Barentin. Et ls nouvelles ne sont guèes rejouissantes.

 Aucun de mes ouvrages, n'est commandable, chez un livbraire. Il n'ya donc plus de distributeur...

 "Où, amazon se procure t tils les ouvrages, qu'ils vendent" ? (ma question, au libraire).

 Je suppose, qu'il a vendu son stok, ou une certaine quantité de vtre stok, juste avant la prononciation de la liquidation; une fois que le stok, sera epuisé, ils n'auront plus rien à vendre.

 "Et mes droits d'auteurs"  ?

 Vous ne toucherez probablement rien.... Puisque c'est l'editeur, qui en est legalement, le propriétaire, dans un delai de 2 mois, en principe, il va se passer quelque chose, la vente d'u stok de livres, aux encheres, ainsi, que la vente,  de votre propriété intellectuelle.

 C'est à dire, que entre la liquidation judiciaire, et la vente aux encheres, de mes droits, d'auteurs, tout ce qui sera vendu, sera reversé, our combler, le deficit, de cet escroc en col blanc....

 Quandd serait informée, de la vente aux encheres, en question ?

 Surveiller, le site suivant: https://actulegales.fr/recherche/siren/509025516?fbclid=IwAR1Y7cTIgzqaQ9oWcG6D4UAIlQurOYCzjY7js-cVUxmpXrTUoV2PFKd6yTw

  Deux personnes, m'ont informées du fait, que dans un delai de 2 mois,  il devait se passer quelque chose.

 

Auteurs en mal d'éditeurs.

Bien des auteurs sont frustrés de ne pas trouver d'éditeur...

 L'un d'eux vient de prendre le taureau par les cornes, et divulgue la face cachée du milieu de l'édition, qui n'est qu'un maillon de la chaine du livre.

 Je vous recommande vivement, si tel est votre cas (espérer y voir plus clair, dans  cet incroyable embroglio),  de commenter les propos, qui y sont tenus, qu'il s'agisse de l'éditeur dont il est question, ou qu'il s'agisse d'auteurs, qui sont confrontés à ce problème, ou de qui que ce soit d'autre, lecteur, ou pas.

 Car apres tout, quiconque écrit des livres, sait à quel point il y a de nombreux malentendus, entre l'image que se font les autres de notre activité, et la réalité des faits, donc, autant s'expliquer, tout le monde aura à y gagner.

 Pour ma part, je vais commenter du mieux que je peux.

 Apres tout, je fais partie de la brouettes d'auteurs, qui se sont fait pigeonner, par les Editions Sydney Laurent, et rien que pour cette raison, j'ai bien des choses à dire, probablement.

Sinon, des liens à visiter:https://www.normandielivre.fr/

https://sadn.fr/

https://librairie.nombre7.fr/2067_francoise-niel-aubin

 

Problèmes de distribution, chez CULTURA.

En théorie, mon éditeur, nombre7, comme les autres éditeurs, sont sous contrat, (ne serait ce pas plutôt l'inverse, que nous devrions dire ?),  pour que nos livres, aux éditions nombre7,  puissent être commandés, chez CULTURA, comme ils peuvent l'être en principe, à la FNAC.

 Ils peuvent aussi, comme je vous le recommande, généralement, l'être dans des libairies indenpendantes, ce que fait mon libraire, à Barentin, "la plume d'or".

 Je rappelle, que combiné avec amazon, dont je n'ai toujpurs pas la moindre nouvelle, depuis le pli recommandé,  que leur ai envoyé, il y a environ 3mois, ces grands groupes disais je, sont entierement responsables, d'une part, de la disparition des petites librairies independantes, mais aussi, de la déforestation, comme le sont d'autres grands groupes, par les emballages qu'il produisent, et qui justifient, helas en partie, la déforestation...

 Ce matin, donc, j'allais chez CULTURA,  pour vérifier, la disponibilité de mes ouvrages, dans leur banque de données...

 Pour y être disponibles, effectivement, ils le sont.

 Voyez plutôt. https://www.cultura.com/search/results?search_query=fran%C3%A7oise%20Niel%20Aubin

 Si vous les commandez sur internet, j'imagine qu'ils honorent la commande. Soyons optimistes.

 Mais en magasin, QUE NENNI... On m'a répondu ce matin, la chose suivante : "on les fait imprimer à la demande strictement, autant dire, à l'unité, donc, on refuse"..sous entendu, "ça n'est pas assez rentable".

 En somme, ils recommandent aux client, d'aller se faire voir chez plumeau, comme on dit...

 Alors, certes, je n'ai jamais reçu, le moindre prix litteraire, EXCUSEZ MOI....

 J'écris des livres,  je n'en vends que tres peu, EXCUSEZ MOI...

   Mais le petit libraire de Barentin, lui, dans le centre ville,  quand quelqu'un lui demande de leur commander un livre, qui ne vaut que 10€, je suis lucide, moi,  et loyale, surtout, et je suis consciente que ça n'est certes pas, avec le poucentage qu'il a dessus qu'il va vivre. C'est juste, qu'il a une conscience professionelle, aux antipodes des grands groupes que je dénonce.... Comment je sais qu'il peut me les commander, si on ui demande , ben, parce que je le lui ai demandé, bien sûr.

  Alors, je ne sais pas si j'ai droit à un traitement de faveur, mais en tout cas,  j'emmerde les actionnaires de Amazon, de CULTURA, et de la FNAC, surtout, qu'ils le sachent bien, quand à ceux, qui comme moi, bataillent chaque jour, pour promouvoir, leurs ouvrages, ne perdez jamais de vue qu'aux yeux de ces gens, là, nous ne sommes que des petites poussières, qui sont aux antipodes de leurs preoccupations. Je vous recommande, d'aller vérifier si vos ouvrages sont commandables ou pas, chez "ces gens là".

 Allez toujours donner la prirorité aux librairies de quartier, ou si le pouvez, mieux encore envoyez vos lecteurs, acheter chez votre éditeur.

https://librairie.nombre7.fr/essai/8066-masculinisme-9791042703295.html

Je trouve ça grave, pour tout dire, humainement parlant, vis à vis de nous, qui nous battons chaque jour pour promouvoir notre travail, mais ça, les rateaux, on a l'habitude, mais sur le plan strictement commercial, pour moi, il y a tromperie, parce que si CULTURA a signé des engagements, vis à vis des grossistes et distributeurs de la chaine du livre,  j'imagine que ces engagements, induisent aussi les magasins, et pas uniquement leur site internet, avec la VPC, donc, ILS SONT EN FAUTE, vis à vis de leurs engagements.

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