Françoise Niel Aubin, artiste.

Chaque agglo ou ville a son forum des associations.

apifnielaubin Par Le 28/08/2021 à 12:11

Dans Autrice.

 Cette rentrée, comme chaque rentrée, les parents sont sollicités, "ou pas", par les enfants, pour adhérer à certaines associations, souvent sportives.

 La vie associative n'est pas limitée aux enfants, bien sûr, mais il ne fait aucun doute qu'un enfant, sera d'autant plus partant, pour exercer une activité, qu'elle soit sportive ou qu'elle soit autre, qu'il aura vu ses parents, eux aussi, participer, à des activités, au sein d'un club.

 https://www.pavilly.fr/Accueil-Agenda-fr-7eme-Forum-des-associations-Pavillaises-349.htm

https://ville-barentin.fr/actualites/le-forum-des-associations-de-barentin-revient-le-4-septembre/

 Je travaille d'autre part, à écriture d'un nouvel ouvrage consacré, à l'echec scolaire, au décrochage,enfin, à celles et ceux, pour qui apprendre, c'est plus une source d'emmerdement, qu'autre chose.

 Ce nouveau livre, va s'appeler, "fôte d'ortografffe" dont le calligramme est connu de certains, dans la région.

 Je vous livre un extrait, sur lequel j'étais ce matin....

 Phobies scolaires.

 J’ignore, s’il arrive que des enfants ou des ados, en arrivent à cette phobie sans qu’il n’y ait un problème de harcèlement, qui en soit à l’origine.

 Le système, veut, que dans un pareil cas, tout soit mis en œuvre, pour que l’enfant soit de nouveau scolarisé, je dirai « coute que coute », je suis personnellement dubitative, sur ce fait.

 Je pense que ceux, qui en décident, n’ont jamais connu ce que c’est que de vivre le harcèlement.

 Comme dans bien des domaines, on aimerait, qu’il y ait un remède miracle, un protocole, qui serait bon, pour chaque enfant, souffrant de cette phobie, alors, que c’est impossible.

 Il est bien plus facile, de culpabiliser les parents, et de leur faire sentir, que si leur enfant est harcelé, c’est parce qu’ils sont non pas nécessairement, de mauvais parents, mais qu’il y ait un problème…

 Comme dans les agressions sexuelles, en fin de compte ce sont les victimes qui sont le problème, et pas les agresseurs.

 On reproche aux parents, de ne pas avoir su « armer » oui, j’ai bien dit « armer », leur enfant, contre l’agression des autres….Plus précisément, spontanément, l’expression c’est « vous ne lui avez pas appris à se défendre ».

 Ha, ben, non, c’est sûr, personnellement, quand j’étais enceinte, un jour, le type (appelons le comme ça, il ne mérite pas mieux), qui me faisait passer l’échographie, voyant que c’était une fille, à lâché « c’est pas avec ça qu’on sauver la France »…

 Incroyable, non ?

 C’est clair, quand on décide de faire un enfant, c’est un bébé, qui sera un enfant, puis un ado, mais pas, en premier lieu, « un guérillero »….

 Les raisons pour lesquelles un enfant peut être pris pour cible, au sein d’une école, d’un collège ou d’un lycée sont multiples, souvent multifactorielles, sans pour autant que l’un, ou l’autre facteur, en question, soit détectable, pour qui que ce soit., y compris, pour les parents, ou les enseignants.

 Il en résulte que l’enfant qui en est victime, peut parfaitement aussi en être victime, sans qu’aucune explication ou cause, puisse l’expliquer.

 A ce titre, j’aimerai vraiment, que ce non dit « vous ne lui avez pas appris à se défendre », culpabilisant les parents, soit observé et médité par tous ceux, qui incriminent les parents, là où ce sont les agresseurs agissant toujours en meute, qui sont les coupables, et personne d’autre.

 Au sujet du fait de vouloir à tout prix, que l’enfant soit scolarisé, je trouve problématique, que l’enfant, parte à école, « la boule au ventre ».

Je ne parle pas là, de la boule au ventre, liée, à la rentrée, nouveau lieu, nouvelle maitresse, etc, qui demande l’apprentissage de l’adaptation, mais de celle qui persiste justement, au point d’aller, jusqu’à la crise de spasmophilie, ou pire.

 Il me semble, qu’un enfant ou un ado, qui en arrive à une telle extrémité, devrait être d’avantage écouté au sens physique du mot, ce que dit son corps.

 S’entendre dire, par un médecin, ou qui que ce soit, « nous savons, ce qui est bon pour toi, et tois retourner à l’école », alors, qu’il est en souffrance, voir, en très grande souffrance puisque par la somatisation, c’est par son corps qu’il le fait savoir, je ne prétends pas qu’il faille suivre à la lettre, ce que lui souhaiterait, mais plutôt qu’ils faille en tenir compte d’avantage.

Faire diversion.

J’ai toujours été convaincue que chaque individu,  détenait, au fond de lui, un potentiel, dont il ignore, une grande partie…

 Certains, ont la chance, de naitre, dans des milieux, où on lui donnera toutes les chances, de les découvrir, et d’autres, un peu moins, voir, pas du tout.

 Je précise que ça n’est pas uniquement aux couches sociales auxquelles je fais allusion et aux revenus auxquels je fais allusion, mais aussi à l’ouverture d’esprit des parents, qui sont quelquefois champions, pour entraver leurs enfants, des lors qu’il s’agirait d’aller explorer des sphères professionnelles, ou des activités, que eux ne cautionnent pas….

 Ainsi, une  stratégie qui vaudrait souvent, consisterait à expérimenter certaines activités, que l’enfant harcelé en difficulté scolaire ou pas,  qu’il en soit au stade de la phobie scolaire ou pas.

 J’ai l’absolue certitude, pour ma part que c’est là, une des clés du problème.

 Qui dit, nouvelle activité, dit, nouvelles connaissances, et donc nouveaux liens, et nouveaux attachements affectifs. (travail en cours, j'embraye ensuite sur les rythmes scolaires).

 

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