https://www.seuil.com/ouvrage/ou-en-sont-elles-emmanuel-todd/9782021406474
J'ai mis mes commentaires en italique.
Une esquisse de l'histoire des femmes (pour l’occasion, le mot « essai », eût il été peut être, plus approprié, non ?
Nous vivons une révolution anthropologique.
Nous la sentons dans le mouvement #MeToo, dans la dénonciation du féminicide, dans une critique de plus en plus pugnace de la domination patriarcale.
C’est bien, ça veut donc dire, déjà, qu’il la reconnait….c’est un bon début.
Pourquoi cette montée soudaine d’une conception antagoniste du rapport entre hommes et femmes ? Parce qu’objectivement, les femmes, ne supportent plus, d’être écrasées, par la patriarcat, ce que beaucoup d’hommes, eux même, reconnaissent, de bonne grâce, d’ailleurs.
Dans cet ouvrage, Emmanuel Todd, informé de ses recherches d’anthropologue, avance que l’émancipation des femmes a pour l’essentiel déjà̀ eu lieu mais qu’elle conduit à des contradictions nouvelles. En même temps qu’à la liberté, (toute relative, la liberté, si si, je vous assure, et puis vous savez ce que l’on dit, la liberté de chacun s’arrête, là, où on se préoccupe de celle des autres, et ceci, concerne les femmes aussi).
Les femmes accèdent à l’anxiété́ économique, (en effet, c’est vrai, quoi qu’au sein d’une ménage, « comme jadis », jusqu’à preuve du contraire, avant notre « émancipation », que je sache, pour remplir le frigo, si aucun salaire ne rentrait à la maison, et encore aujourd’hui, je pense que l’anxiété économique touchait et touche encore, autant l’homme que la femme, ne lui en déplaise)à l’anomie(j’ignorais, qu’à loi égale, le fait qu’elle ait été inspirée, rédigée, et votée, par une ou des femmes, discréditerait une loi sous ce seul prétexte…. au ressentiment ‑ individuel et de classe.
Il me semble, que le vrai souci, en fin de compte, c’est que ce monsieur, ne fonctionne qu’avec de vieux poncifs, et que de voir qu’effectivement, le curseur bouge, et sur ce point, je reconnais, qu’il a raison, le fait, que lui, y perde ses repères, a pour conséquence, qu’il en fait, une généralité.
I il parle de ressentiment. Ma petite sœur airait pu dire, « suiq qui le l dit qui y est »…
C’est sûr, jadis, un homme tabassait sa femme, et quand les voisins, entendait les coups pleuvoir, de l’autre côté de la cloison, on faisait comme si ça n’existait pas, et le mari violent, lui, svait que statistiquement, il avait peu de chance d’être inquiété.
Aujourd’hui, il est possible, qu’il y ait une putain, de saloperie de féministe, sur l chemin de la victime, qui lui dépose, un flyer, ou un numéro de téléphone d’urgence, dans son caddie de supermarché, pour lui dire, « on est avec toi », alors, le connard, de mari violent, passe du violant, au féminicide, un jour, parce que les choses bougent, effectivement ? c’est sûr, est ce que c’est là, que c se trouve, ce qu’il appelle, l’avancée du ressentiment ?
Si on ne peut lus tabasser sa femme, et puis ses gosses, sans être emmerdé, quand on se gratte les couilles, le soir devant sa télé, au prétexte, qu’on a été assez lâche, je dis bien assez lâche, pour ne pas parler, mais frapper, c’est sûr, pour du ressentiment, y’a du ressentiment.
Otez moi, d’un doute, là, un intellectuel, ça se gratte aussi les couilles, devant la télé, non ?
Pour comprendre notre présent, il retrace, depuis l’origine, l’évolution de la relation homme/femme dans l’espèce homo sapiens.
C’est cela, oui…..
Il mène aussi une large étude empirique (empirique, oui, visiblement, c’est bien le mot) ? de la convergence entre hommes et femmes et des différences qui continuent de les séparer ‑ d’éducation, de métier, de longévité́, de suicide ou d’homicide, de comportement électoral ou de racisme. Il montre comment la libération des femmes a permis l’effondrement de la religion et de l’homophobie, contribué au recul de l’industrie, conduit à l’essor de la bisexualité et au phénomène transgenre.
Bon, attendez, on a du lourd, là, nous les femmes, serions responsables, de l’effondrement des religions ?
Pour commencer, là, déjà, alors, que va sortir, mon travail, sur la toxicité des livres sacrés excusez-moi, mais je me sens visée.
Je voudrai, qu’il nous explique, là….
Efondrement, de l’homophobie….
Malheureusement, il y a bien des pays, où on aimerait, que ce soit le cas. Mais quand bien même, on devrait s’en réjouir, non ?
A moins que l’éditeur, sensé mettre en avant son livre, ait mal, LU, peut être, ou bien il était bourré, je ne sais pas, je suggére plutôt, que nous serions accusés, en temps que féministes, de cautionner ou d’accentuer, voir, et pourquoi pas, « allons y gaiement », d’encourager l’homosexualité…..
Bon al plaisanterie a assez duré, vous ne croyez pas ?
Un livre qui s’efforce de comprendre, hors des sentiers trop fréquentés de l’idéologie, les paradoxes profonds de notre révolution.
Emmanuel Todd est historien et anthropologue. Il a notamment publié L’Origine des systèmes familiaux (vol. 1, Gallimard, 2011), Qui est Charlie ? (Seuil, 2015), Où en sommes-nous ?, Une esquisse de l'histoire humaine (Seuil, 2017), et Les Luttes de classes en France au xxie siècle (Seuil, 2020).
Conclusion de l’histoire., deux hypothèses…..
Une grosse blague, ou un manifeste masculiniste, qui ne dit pas son nom.
Je propose, de le confronter à un masculiniste, tiens, les deux, l’un en face de l’autre, qu’on rigole un bon coup. Et oui, deux coqs, l’un en face de l’autre, va y avoir du sang, comme on dit, mais soyez sans crainte, ils refuseront, bien sûr.
Il parait, que ce qui fût, à l’origine de son succès, c’est d’avoir prédit, l’effondrement, du bloc soviétique, dites donc…
Considérant ce qui se passe, actuellement, au sujet de poutine, en Ukraine, et face aux USA, ça serait bien, qu’il ailler donner, son son de cloche, sur le sujet, justement, SI VISIONNAIRE, qu’il est sensé être, non ?
Quoi, qu’en matière de féminisme, et de masculinisme, poutine, aurait des choses, à lui raconter, je le crains.
La vraie question qui se pose, en fait, pourrait être la suivante :
Peut on avoir été lucide, et effectivement visionnaire, à un moment de sa vie, puis ensuite, devenir un sacré connard ensuite, considérant, qu’on écrit une somme de bouquins ?
Regardez donc, zemmour, il en a écrit, plein, de livres, et visiblement il est toujours aussi con, aussi psychopathe, j’ose affirmer, et je le répète, jamais, le fait, d’écrire des livres, ne remplacera, un travail thérapeutique, face à un psy.
Parce qu’il est là, le problème, il ne s’agit de rien de moins, qu’un manifeste masculiniste, qui n’assume, pas.
D’ailleurs, je n’ai aucun doute, sur le fait, qu’il vont le revendiquer comme tel.
Sinon, pour parler masculinisme, je vous rappelle, que j' m'y suis collée, c'est ici:
https://editions-sydney-laurent.fr/livre/le-masculinisme/