Jadis, on devait avoir le nombre de vaches, que la superficie de l'exploitation autorisait, parce qu'on devait cultiver de quoi les nourrir.
Je n'ai jamais vu mes parents, aller s'emmerder à acheter de la nourriture ailleurs, pour nourrir, leurs vaches qui chiaient et mangeaient, dans nos herbages.
Aujourd'hui, c'est soja transgénique, etc... Je ne vais pas les plaindre. Qu'ils commencent deja, par tenir compte, de cette donne là, ensuite on y revient.
De toute façon, le lait "non transformé en fromage, yaourts, etc", est toxique pour les humains adultes, qui ne sont pas équipés pour le digérer.
Je rappelle que nous sommes des ammifères, et dans le monde animal, les animaux adultes, jamais ne consomment du lait.
Et oui, ma mère trayait les vaches et moi, je suis intolérante au lactose de vache, comme beaucoup... Pourquoi, nous a ton fait croire, depuis si longtemps, que c'était bon pour la santé ? Uniquement, pour faire vivre nos éleveurs, et pas pour notre bonne santé.
Pour commencer, il faudrait deja s'arranger, pour que le taux de graisse dans le lait, soit plus élevé, qu'il n'est actullement , pour éviter qu'on soit obligés, d'aller acheter du beurre, en Hollande, ou ailleurs, pour fournir, la biscuiterie française, mas aussi, l'ensemble de l'industrie agroalimentaire.
Ensuite, on aimerait bien comprendre, pour quoi certains "éleveurs n'ont pas recours aux filières, qui ont été mises sur pied, par certains d'entre eux, pour être correctement remunérés, version, "c'est qui le patron", ou bien les filières internes aux supermarchés, qui garantissent, par un label, le juste revenu des agriculteurs...
Alors, que les agricuteurs ont levé les barrages, et sont, semble t il, retournés sur leurs fermes, ils n'ont obetenu satisfaction, que sur le court terme.
Alors que je travaille chaque matin, tres tôt, à mon ouvrage sur le sujet, et qui va s'appeller, "agriculture, "tu t'adaptes, ou tu t'adaptes", chez les politique on manie la langue de bois, aussi bien que d'autres, celle de Molière, pour faire mentir les mots...
Ainsi, j'observais chez eux, depuis des mois, l'expression "souveraineté alimentaire", qui est parfaitement devoyée, de son sens originel.
En théorie, la souveraineté alimentaire, est sensée envisager, de tendre vers une forme d'autosuffisance alimentaire, et en dehors, d'un contexte d'exportation, et de géopolitique.
Ceci est valable, vu de n'importe quelle pays dans le monde, elle est affichée, telle une véritable couronne posée sur l'agriculture, par une vision altruiste de l'expression, qu'au demeurant, je cautionne entiérement.
De façon moindre, ce qu'on appelle le locavore, les AMAPS, ou le fait de cultiver un potager pour son rendement personnel, ou un maraicher qui produit ses legumes, et les vend sur les marchés, sont autant d'expressions de ce qu'on peut appeler sans la devoyer, la souveraineté alimentaire.
Quand on écoute, notre ministre de l'agriculture, ou marion maréchal, qui parle de souveraineté alimentaire, il en va tout autrement.
Plus que jamais, quand cette expression est utilisée par un politique, il faut lui appuyer sur le nez, pour qu'il développe son concept, afin de lui faire cracher le contenu véritable de son propos, ou si vous préférez, le contraindre à avouer qu'il ne fait que sortir son baratin, et rien d'autre.
Alors, que l'Inde, s'entendrait comme cul et chemise avec poutine (si j'ai bien compris), personne n'en parle, mais en Inde, l'agriculture, vit une crise sans pareil, parce que leur gouvernement n'envisage l'agriculture, que sous l'angle productiviste, laissant les agriculteurs, dans une souffrance sans pareil.
Mais personne n'en parle.
Si cette vision productiviste et industrielle était bienfaisante pour l'humanité, en plus particulierement, pour les agriculteurs, en dehors des actionnaires, je veux dire, je pense que ça se saurait.
Alors, que toutes chaines quasiment, retransmettent cette inauguration, en la présence de bon nombre de puissants de ce monde, la question est posée.
Beaucoup de monuments du patrimoine français, dont des églises, ou autres edifices religieux sont en grand danger, je suis tombée il y a quelques jours, sur un article interpellant, au sujet de l'état des ponts, en France.
Suite au terrible accident, qui était parvenu en Italie, par l'effonde rement du pont de Gênes, en 2018, qui avait fait 43 morts, une étude générale avait été commandée, pour contrôler, l'état de nos ponts, en France.
Si la Nouvelle Aquitaine fait l'objet de cet article, c'est dans tous les départements de France, que sur ce point, ces ouvrages d'art, sont en souffrance, avec comme grave problème, que souvent, ce sont des communautés de communes, des départements, ou des régions, qui sont en desaccord sur le financement, parce qu'en gros "personne ne veut payer".
Il me semble, que dans la mesure où la question de ce surplus d'argent est disponible, si l'on considère que ces ponts sont aussi des ouvrages d'art, par définition, ils font aussi partie de notre patrimoine, et qu'à ce titre, ils devrait pouvoir jouir de cette manne financière.
J'en vois deja, qui sourient face au principe de la formule...
OK...
Il n'empêche......
A un moment de l'histoire européenne, qui montre poutine montrer les crocs, pire qu'un loup qu'on accuse de prendre un peu trop de place dans les paturages, face aux merveilleux petits "mogneaux", comme disait Jamel, dans Asterix et Cléopatre, ce sont les aspects positifs de l'europe, qui sont mises en péril.
Les extrêmes droites, partout en Europe, passent à poutine la brosse à reluire, avec le complicité, d'un Elon Musk, qui ne demande pas mieux, aveuglé tel un vorace "Picsou", qui, par la puissance induite par sa fortune personnelle, il se prend pour le messie.
Car oui, ça n'est pas parce qu'il est autiste asperger, qu'on est necessairement altruiste, dan ses ambitions.
Je rappelle, que c'est à coup de fake news, et uniquement pour servir sa fortune personnelle, qu'elon musk aujourd'hui, s'est mis au service de donald trump, et par ce fait, des suprematistes blancs, profitant du fait que les conflit d'intérêt, n'existe pas aux USA.
Il est grand temps, non pas de remettre en cause l'Europe, comme le prétendent certains à demi mots, mais plutot de se demander quel a été le chemin parcouru.
Il est toujours facile, de regarder le verre à moitié vide, quand on le conjugue avec le fameux slogan, qui dit, que quand on veut tuer son chien, on prétend qu'il a la galle.
Il faut parvenir à reconnaitre, et booster l'idée selon laquelle l'europe ne doit pas servir les intérêts financiers, s'ils sont au détriment de l'individu, qu'il s'agisse du droit du travail, de normes érigées pour le protéger, mais surtout aussi, de nos libertés.
Je sais qu'il est difficile d'imaginer l'Europe, sans que ce soit avec la calculatrice à la main, mais ça ne doit pas être uniquement, la calculatrice qui détermine de la politique, qu'on y mène.
Parce qu'au sein de l'europe, quelque soit la culture, et quelque soit la religion, il existe aussi, un tronc commun liè à l'humanisme, que ça plaise ou pas aux financiers.
Quelle relation, avec l'agriculture ?
C'est que tous les secteurs, sont liés, et ça, il faut le regarder avec honnéteté.
Si vous parlez agriculture, vous parlez environnement, et santé publique, si vous parlez santé publique, vous parlez aussi du reste, comme le droit du travail.
Alors, que l'Europe devrait s'ennorgueillir, de défendre certaines valeurs, qui devraient au demeurant, être l'appanage de tous les pays européens, elle en est aujourd'hui, par l'intermediaire des grand traités commerciaux, tels que les MERCOSUR, à brader notre agriculture, pire qu'un marchand de tapis, même si au demeurant, je n'ai rien contre ces derniers....
Il parait qu'au Maroc, ne pas négocier au souk, c'est faire insulte aux vendeurs...
Soit, la responsable des transactions au sujet du mercosur, serait bien inspirée il me semble, de veiller au grain common dit chez moi, parce que ce serait plusieurs decennies de travail acharné, pour fournir des normes de qualité, qu'elle enverrait aux orties.
J'ai bien dit, normes de qualité, sensées nous protéger d'une concurrence déloyale, et sauver notre qualité des aliments.
Je sais, je sais, comme disait Jean Gabin que les normes, parait il, emmerdent certains agriculteurs, et bien d'autres encore...
Mais si ces normes existent et ont été crées, c'est pour répondre à un besoin de qualité, et qu'elle ont été installées, généralement, pour emettre certains critères de qualité...
Il serait bien utile, de ne jamais l'oublier.
Alors que beaucoup de citoyens dans le monde, souffrent de plus en plus de maladies chrniques, dont beaucoup sont induite, comme disait JP Kauf, "une nourriture de merde", il faut rappeler que ces maladies, sont observables partout, dans le monde, y compris en Europe ou aux USA, et que ce sont bien ces critères, qui ont pour mission de garantir cette qualité.
Que ce soit difficile, au sein de la cummunauté européenne, d'organiser et de mettre sur pied une politique agricole, qui ne soit toxique, pour aucun pays, est je crois, peut être, l'un des challenges les plus compliqués à mettre sur pied...
Ca ne fait aucun doute... Le nutriscore, par exemple, est une excellente chose, mais il doit être amélioré encore, et les entreprises, d'agro alimentaire, doivent s'y plier, sinon, ce sont nous consommateurs, qui organiserons le boïcot.
Consentir au mercosur, est le moyen le plus antinomique d'y parvenir, parce qu'idéologiquement, ça serait donner la priorité à une agriculture basée, plus sur le productivisme que sur le qualitatif, et ça, c'est juste criminel.
Oui, parce que je rappelle que la raison primaire, pour laquelle on cultive le blé, quand on est ceréalilier, c'est de nous nourir les gens, et pas de satisfaire les financiers, et les lobbiistes ceréaliers.
Pour la santé publique, voilà, où nous en sommes.
Petite précision, ce qui est expliqué là, c'est mon cas personnel...Autant vous dire qu'on a pas fini de vous emmerder sur le sujet.